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Hatoko, écrivain public et propriétaire de la papeterie Tsubaki, après avoir élevé ses enfants reprend le pinceau après des années. Elle rédige une lettre d’adieu d’une mère à sa fille, sur les traces d’un amour ardent et interdit, lettre d'amour, mystère, descriptions des paysages, culture et tradition japonaise comme avec le thé. Réflexions philosophiques. Monde de la calligraphie, le deuil, la transmission. Une lecture poétique, une ode sensible et pudique.
On retrouve la petite papeterie et Hatoko, on va encore mieux découvrir celui-ci et sa famille. Une écriture avec douceur, bienveillance et poésie. Calligraphie, Famille, Tradition, Tranche de vie. Un texte lumineux, une ode à l'amour, une lecture fluide et délicate. On retrouve aussi un soupçon d'humour, beaucoup d'émotion et de chaleur humaine. Une oeuvre subtil et envoûtante.
" Par ce que la vie, ce n'est pas une question de longueur, mais de qualité. Il ne s'agit pas de comprer avec le voisin pour savoir si on est heureux ou malheureux, mais d'avoir conscience de son propre bonheur. "
J'avais beaucoup aimé LE GOÛTER DU LION , LA PAPETERIE TSUBAKI, LE RUBAN
J'avais un peu moins apprécié LA REPUBLIQUE DU BONHEUR et LE RESTAURANT DE L' AMOUR RETROUVE,
Mais dans ce roman Ito Ogawa m'a vraiment déçue.....
Une « belle histoire » pleine de situations conventionnelles dans une écriture elle-même bien conventionnelle ….
L'ensemble m'a paru plat et insipide
Littérature japonaise, la famille, les traditions et la poésie. Une lecture emprunte de tendresse et de douceur, on parle d'écriture avec la calligraphie, on est aussi dans des tranches de vies, beaucoup d'émotions qui oscille entre tristesse et bonheur, l'amours, l'harmonie et un rythme lent mais aussi paisible. On parle aussi de la nature, de la spiritualité. Je conseille.
"Le timbre devra être humecté avec des larmes de chagrin pour une lettre triste, et avec des larmes de joie pour une lettre gaie."
"Malgré le nombre de commandes qu'elle avait honorées en tant qu'écrivain public, l'Aînée ne s'était jamais perdue de vue. Jusqu'à sa mort, elle avait été elle-même. Et maintenant que son corps avait disparu, elle continuait à vivre dans les calligraphies qu'elle avait laissées. Son âme les habitait. C'était ça, l'essence de l'écriture."
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