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Frederic Berthet

Frederic Berthet
Né en 1954, Frédéric Berthet est l'auteur de deux recueils de nouvelles, Simple journée d'été (Denoël, 1986) et Felicidad (Gallimard, 1993), d'un roman, Daimler s'en va (1988), d'une chronique, Paris-Berry (Gallimard,1993) et d'un essai, Le Retour de Bouvard et Pécuchet (Le Rocher, 1996). Ses ami... Voir plus
Né en 1954, Frédéric Berthet est l'auteur de deux recueils de nouvelles, Simple journée d'été (Denoël, 1986) et Felicidad (Gallimard, 1993), d'un roman, Daimler s'en va (1988), d'une chronique, Paris-Berry (Gallimard,1993) et d'un essai, Le Retour de Bouvard et Pécuchet (Le Rocher, 1996). Ses amis le considéraient comme l'un des auteurs les plus doués de sa génération. Disparu en décembre 2003, il a laissé un colossal volume d'écrits divers, d'esquisses et de fragments, véritable creuset de son oeuvre, publié chez Gallimard en 2006 sous le titre Journal de Trêve.

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Daimler s'en va » de Frederic Berthet aux éditions Table Ronde

    Madame Tapioca sur Daimler s'en va de Frederic Berthet

    Bizarrerie littéraire de 120 pages datée de 1988. Livre mince, drôle et désespérant. Fantaisie à laquelle tu ne comprends pas grand chose mais terriblement entêtante.

    Daimler est aussi déconcertant que Bartleby, aussi élégant que Gatsby, aussi rêveur que le privé à Babylone de Bratigan....
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    Bizarrerie littéraire de 120 pages datée de 1988. Livre mince, drôle et désespérant. Fantaisie à laquelle tu ne comprends pas grand chose mais terriblement entêtante.

    Daimler est aussi déconcertant que Bartleby, aussi élégant que Gatsby, aussi rêveur que le privé à Babylone de Bratigan. Daimler s’en va parce que «Mourir était pour lui la dernière aventure qu'il ait à sa disposition.»

    Voilà.. si vous arrivez à vous faire un avis avec ce que je viens d’écrire vous êtes à point pour lire l’unique roman de Frédéric Berthet.

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    Couverture du livre « Simple journée d'été » de Frederic Berthet aux éditions Denoel

    Littéraflure sur Simple journée d'été de Frederic Berthet

    Beaucoup de verbiages et peu d’esprit. Quel ennui ! J’ai commis deux erreurs. La première est d’avoir fait confiance à la Fnac, la deuxième d’avoir cru à un roman beau comme La côte sauvage de Jean-René Huguenin… Imaginez du Frédéric Beigbeder ou du Nicolas Rey sans humour ni second degré. Ces...
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    Beaucoup de verbiages et peu d’esprit. Quel ennui ! J’ai commis deux erreurs. La première est d’avoir fait confiance à la Fnac, la deuxième d’avoir cru à un roman beau comme La côte sauvage de Jean-René Huguenin… Imaginez du Frédéric Beigbeder ou du Nicolas Rey sans humour ni second degré. Ces deux écrivains sont insupportables mais leur style et leur personnalité parviennent quelquefois à les sauver. Qu’on m’explique ce que ce Berthet a de génial ! Peut-être qu’au bout de cinq verres de Vermouth, quand le taux d’alcoolémie a noyé toute étincelle de lucidité, on lui trouve un intérêt. C’est compliqué de résumer le vide de ces histoires. Des mondanités, des leçons de savoir-vivre dignes de la Baronne de Rothschild (ex : l’insupportable « traité d’illégitime défense »), des faux quiproquos, des aphorismes prétentieux, des dandys miteux qui vous expliquent en quoi Lanvin est vain (on s’en fout), des jeunes gens de la « bonne » société qui se courent après dans le but ultime - ô mais que c’est original - de forniquer dans la soie. Seule fantaisie, dans la première nouvelle, l’auteur nomme ses personnages par leur métonymie. Grosses-Joues et Cravate-Club sont des noms plus divertissants que Jean-Édouard et Louis-Marie. Si les protagonistes avaient parlé anglais, s’ils avaient évolué à Oxford ou à New York, la banalité de ces nouvelles aurait été emportée par le charme de la langue. Mais là, ça m’a fait le même effet qu’un tube anglo-saxon traduit en français. Une purge, l’impression d’un truc qui cloche, qui n’est pas à sa place. Sa place, ce sera rangé au fond de la bibliothèque, derrière une rangée de livres plus consistants.
    Bilan :

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    Couverture du livre « Le retour de Bouvard et Pécuchet » de Frederic Berthet aux éditions Belfond

    Loa Elven sur Le retour de Bouvard et Pécuchet de Frederic Berthet

    Quelle idée fort sympathique de prolonger les (més)aventures de ces deux personnages atypiques que sont Bouvard et Pécuchet en les faisant découvrir la modernité. L'auteur a réussi la prouesse de laisser aux deux personnages leur personnalité d'origine. Bien qu'il y ait un côté "catalogue" de...
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    Quelle idée fort sympathique de prolonger les (més)aventures de ces deux personnages atypiques que sont Bouvard et Pécuchet en les faisant découvrir la modernité. L'auteur a réussi la prouesse de laisser aux deux personnages leur personnalité d'origine. Bien qu'il y ait un côté "catalogue" de découvertes, ce deuxième volet se lit avec plaisir.

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