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Un groupe d'aventuriers fait du grabuge à la taverne de Klaus ce soir là, allant à l'encontre de la pax elfica, la loi instaurée par les Elfes après qu'ils aient vaincus l'armée des morts vivants et finalement décidé de rester.
Sous couvert de maintenir l'ordre et la loi ils règnent en despotes, mais Klaus, et surtout son fils Tano, dont la mère était elfe elle-même, n'entendent pas se laisser maltraiter.
Magie, libre circulation, tout est désormais interdit, et les enfants emmenés par les patrouilles ne reviennent jamais.
Tano, en se dressant contre l'ordre en place sous la couverture de "La Flèche" se voit contaminé par une étrange graine, obligeant son père et ses compagnons à faire appel à un vieil allié devenu ennemi, aussi ennemi des elfes eux-même.
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Vous avez déjà joué à un JdR ?
Un jeu de rôle.
Fiche de perso au poing, tenu de respecter vos capacités et handicaps, vous devez progresser, parachuté dans un univers dont on vous donne des bribes, des dés pour seul tentative de déjouer le hasard.
Et bien, ici vous allez être, certes, plus passif, mais vous voilà dans la vision du touche à tout Cédric Mayen (De Poltron Minet au Mystère Dyatlov, Mr pratique le grand écart sans échauffement) de Pax Elfica, le scénario de JdR de Claude Guéant.
Pour le moins original dans sa mythologie classique, ici, les Elfes sont pris à contre pied, et c'est bien agréable !
Cédric Mayen nous construit un premier tome riche, prenant et non dénué d'humour qui m'a beaucoup plu. Un départ d'aventure prometteur !
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Accompagné par Piertantonio Bruno au trait et Axel Gonzalbo aux couleurs, les trois compères livrent des planches soutenues, profondes, aux lumières magnifiques et aux ambiances saisissantes.
Les différentes races sont décors sont réalisés avec finesse (un peu de mal à distinguer les elfes parfois, mais c'est souvent le cas...)
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Voilà donc un premier tome bien engageant et original en son domaine dont il me tarde de lire la suite !
En 1868, dans la région entre Rome et Naples, un groupe de brigands prépare une embuscade contre l'armée piémontaise, qui contrôle l'Italie depuis le Risorgimento initié par Garibaldi. À leur tête se trouvent Francesco Guerra, un ancien soldat révolté contre les taxes du nouvel État, et sa compagne Michelina di Cesare, qui a uni les ciociari, des fermiers-brigands.
Michelina, avant-gardiste, lutte pour sa liberté et contre l'oppression. Elle parvient à se libérer de son mari violent après un mariage forcé.
Elle devient impitoyable et se bat farouchement pour sa cause. "La Fleur au fusil" raconte l'histoire vraie, bien que très romancée, de cette Italienne, perçue soit comme une héroïne, soit comme une criminelle.
Cette bande dessinée, qui suit les codes classiques avec ses dessins et ses bulles, ne m'a pas vraiment captivée en raison de la période historique italienne qu'elle aborde, même si j'ai aimé le côté féministe de cette lecture.
Cependant, j'ai apprécié le personnage de Michelina pour son courage et son désir d'émancipation, presque impossible à acquérir à cette époque.
Italie, 1868
Une embuscade, une femme à la tête d'une bande de brigands terrone (surnom donné aux paysans du sud de l'Italie par les habitants du nord), une attaque pour libérer son frère Giovanni capturé par les Piémontais... Michelina Di Cesare n'a pas peur d'être en première ligne.
Elle mène avec son compagnon Francisco Guerra une révolte contre l'unification nationale italienne, ses taxes, sa mainmise sur les terres agricoles. C'est son histoire que nous raconte Cédric Mayen. L'histoire vraie d 'une femme hors du commun, une rebelle meneuse d'hommes qui réussit à unifier les fermiers-brigands, qui joua de son image (la photographie d'elle, armée, fut diffusée en grand nombre) et fût une tacticienne de la guerilla.
Ce récit qui a inspiré la mini-série Briganti sur Netflix est mis en images par Cristiano Crescenzi. Son travail à l'encre de Chine, aquarelle et acrylique est remarquable de précision et de contrastes. Le trait à l'encre est très noir et plante des ambiances sombres et tendues. Le personnage de Michelina, reine des brigands, est forte et déterminée, iconique !
Encore une bonne surprise que cette biographie passionnante d'une femme dont je n'avais jamais entendu parler. Le très beau t
Il y a des nains, des elfes, des créatures magiques, des humains soumis, des châteaux et autres lieux mystiques. Il y a tout pour nous plonger dans un univers commun au seigneur des anneaux.
A chaque page tournée, j'entends même cette musique bien connu de tous.
Et même pour les non-initiés à la fantasy comme moi (je n'ai jamais été au-delà des trilogies cinematographiques de Tolkien), il faut avouer que la sauce prend, que la magie fonctionne si je puis dire.
Un bon premier tome introductif, avec beaucoup de personnages à développer, de noms à retenir, mais qui n'oublie pas de poser quelques séquences d'action dans lesquels Bruno nous en mets plein la vue.
Finalement, le seul reproche, c'est le manque d'information sur ce qui s'est passé, le contexte historique du récit. Klaus, un des personnages principaux, ne veut rien savoir du passé de chacun. Mais moi j'aurais bien aimé.
Mais je ne doute pas que les tomes suivants viendront éclairer toutes les zones sombres de l'histoire.
Une série fantasy à suivre.
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