Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Alice, étudiante à Aix-en-Provence, travaille dans un bar pour financer ses études.
Elle y fait la connaissance d'Elvire, une vieille dame excentrique avec qui elle se lie d'amitié.
Mais Elvire se fait renverser par un scooter et meurt.
Alice devient obsédée par ce drame.'ai pas été bien loin dans cette histoire.
D'abord, Alice ne m'est pas franchement sympathique
l''écriture est basique, sans originalité.
J'ai la sensation de m'embarquer dans un roman feel-good, ce qui n'est pas trop mon truc, et ne me sens absolument pas le courage d'aller jusqu'à 400 pages
Désolée, je passe à autre chose.
Genre : Roman historique
Avis : BOULEVERSANT
Lu en numérique
Quand un roman vous entraîne dans des horreurs méconnues…
Mai 1922, Aix-en-Provence, le père d’Esther lui donne une montre au dos de laquelle est gravé un nom inconnu Hans W. Un mois plus tard, Esther visite le camp des Milles, en Provence, et voit une photo sur laquelle une déportée porte, ce qui lui semble être la même montre. Esther se jure alors de découvrir l’histoire de cette montre. Pour cela, elle va devoir plonger dans un épisode du passé franco-allemand que peu de gens connaissent.
Quelle claque à la lecture de ce roman qui a demandé beaucoup de temps à la romancière, je le sais, pour donner le fond le plus exact possible à cette histoire qui révèle ce qu’ont pu être les camps d’internement en France. Le camp des Milles est connu pour avoir enfermé des exilés Allemands dont les Français se méfiaient, pour la plupart des artistes ayant fui le fascisme.
Si le fond du récit est dramatiquement exact, la fiction fait la part belle aux relations familiales, amicales, aux liens passant par-dessus toutes les barbaries. Il y a de l’amour, de la lumière, et de la musique avec le hautbois en pièce principale. Et du suspense car la quête de la vérité d’Esther devient la nôtre.
J’ai vraiment vécu intensément tous les évènements décrits, le style narratif de la romancière y est pour beaucoup ; il est puissant, imagé, exalté, lumineux. La plongée est profonde et l’apnée nécessaire pour suivre les découvertes d’Esther. Mais la tendresse accompagne chacun de ses pas quand elle rend visite à sa grand-mère qu’Alzheimer semble protéger des révélations trop cruelles.
Merci Aurélie Tramier d’avoir si bien su « conter » les ravages intérieurs des personnages qui ne sont pas bien loin des gens réels ayant vécu à cette période. Combien d’artistes ont été fracassés juste parce qu’ils ne voulaient pas adhérer aux idées qui mèneront le monde à la folie guerrière et massacrante.
Vous aimez les secrets, les révélations tardives, les pierres qui parlent, les courages et les fiertés, ce roman est pour vous. Il est sorti en début d’année.
Je remercie #NetGalleyFrance et @La Belle Etoile pour le service presse de #BienAimée
J'ai dévoré ce roman à l'écriture sensible d'une auteure que je ne connaissais pas ;
Alice, étudiante à Aix-en-Provence, arrondit ses fins de mois en travaillant dans un café. Elle y retrouve tous les jours Elvire, une charmante vieille dame un peu excentrique qui va bouleverser sa vie. Renversée par un scooter, Elvire meurt dans les bras de la jeune fille en lui léguant ses quelques biens. Dès lors, Alice n’a plus qu’une idée en tête : rendre justice à cette femme qu’elle aimait. Qui est vraiment Elvire et pourquoi l’a-t-elle choisie ? Était-ce un accident ? Quels secrets lui cache-t-on ?
thème fort abordé , l'emprise , la maltraitance psychologique ...
secret de famille , non dits seront peu à peu dévoilés
sur un fond de fantaisie avec des personnages comme Eliane et rosie , vieilles dames originales;
Genre : Roman contemporain
Avis : GLAÇANT
Format : Livre de poche
Quand une femme ne peut se décider à quitter l’homme de sa vie…
Nous sommes à Aix-en-Provence. Elvire, une charmante vieille dame, a rencontré Alice, une étudiante qui arrondit ses fins de mois en travaillant dans un café. Quand Elvire est renversée par un scooter et en meurt, Alice devient obsédée par la recherche de son meurtrier. Elle ne veut pas croire qu’il puisse s’agir d’un accident et qu’elle risque son amour et sa santé mentale en cherchant des pistes à suivre. Et si l’enquête n’était qu’un prétexte pour découvrir qui était réellement Elvire ? Quels sont les secrets de sa propre famille ?
J’ai découvert Aurélie Tramier au hasard d’un SP avec « Peindre la pluie en couleurs », je l’ai ensuite reçue en interview et j’ai été séduite d’abord par son écriture et ensuite par son humilité. Elle conte des émotions de tous les jours avec facilité et humanité. Aujourd’hui, je vais essayer de vous donner envie de découvrir « La flamme et le papillon » sachant que son dernier roman « Bien-Aimé » attend sagement que je m’intéresse à lui. Dites-lui que c’est pour bientôt…
Si le roman débute lentement, installant des personnages qui au premier abord ne paraissent ni fragiles, ni malheureux, il y a ensuite un dévoilement des personnalités, des vies de famille, et Alice ! La jeune femme se laisse séduire mais affiche une irrévocable volonté de chercher la vérité. Ni Charles, ni Jean ne l’arrêteront dans sa quête rendue difficile par les liens qu’elle entretient avec les uns et les autres. Le suspense s’installe sans que l’on n’y prenne garde et l’on ne saura qu’au dernier moment qui sont les papillons et qui irradie d’une flamme brûlante.
Oui, l’emprise est le thème principal de ce livre mais le joug des familles, les secrets tus, les louvoiements réguliers, sont le cadre idéal pour que des personnages jouent à cache-cache. Autre cadre sublime, Aix-en-Provence, une ville et une région chères au cœur de la romancière. C’est finement distillé et ce qui est rare, c’est que la répétition de la violence des mots est plus exprimée que « l’accident dû à la maladresse » qui se répète.
Organisé autour de scènes de la vie quotidiennes et de lettres non envoyées, le roman est riche de trouvailles narratives. Je vous invite à entrer dans le monde des menaces voilées, des sourires de façades, des volontés cachées en ouvrant « La flamme et le papillon ».
Je remercie Aurélie Tramier pour l’envoi du livre et pour sa dédicace « La flamme est belle mais attention : elle brûle.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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