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Amanda Sthers

Amanda Sthers

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Avis sur cet auteur (81)

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    Couverture du livre « Les gestes » de Amanda Sthers aux éditions Stock

    Caroline Candille sur Les gestes de Amanda Sthers

    La filiation est un sujet intemporel, de nombreuses fois abordées, mais le roman d’Amanda Sthers apporte une douceur et un vent romanesque à son dernier ouvrage.
    L’adoption d’un petit garçon entraine dans ses souvenirs, le futur papa, qui déroule l’histoire de sa famille, de ses arrières grands...
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    La filiation est un sujet intemporel, de nombreuses fois abordées, mais le roman d’Amanda Sthers apporte une douceur et un vent romanesque à son dernier ouvrage.
    L’adoption d’un petit garçon entraine dans ses souvenirs, le futur papa, qui déroule l’histoire de sa famille, de ses arrières grands parents égyptiens, de son grand père fantasque et disparus, et enfin de son père.
    Personnage haut en couleurs, aussi attachant que compliqué, aussi amoureux que coureur, et surtout aussi lâche devant les contingences de la vie.
    Les femmes, au milieu de tout cela, subissent er essayent de protéger de leur mieux, ces fils….quittent à s’oublier elles-mêmes.
    Il y a un côté saga familiale, une très jolie réflexion sur la famille, les religions, le manque, qui peut nous construire ou nous détruire.
    Un très joli moment de lecture, à conseiller vraiment.

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    Couverture du livre « Les gestes » de Amanda Sthers aux éditions Stock

    LaetiF sur Les gestes de Amanda Sthers

    Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions Stock pour la découverte du nouveau roman d'Amanda Sthers, #Lesgestes

    Espérant pouvoir bientôt adopter son enfant, Marc décide de retracer pour lui le destin de son père, Hippolyte. Ce dernier a eu une vie décousue, entre abandon paternel,...
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    Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions Stock pour la découverte du nouveau roman d'Amanda Sthers, #Lesgestes

    Espérant pouvoir bientôt adopter son enfant, Marc décide de retracer pour lui le destin de son père, Hippolyte. Ce dernier a eu une vie décousue, entre abandon paternel, déracinement du Moyen-Orient à l'Occident, rêve d'archéologie et désillusions en tous genres... « Sa mélancolie débordait parfois ; égyptienne, dansante, nostalgique, désespérée et moelleuse. » En nous racontant l'histoire d'un grand-père décédé avant de pouvoir le devenir, Marc revient sur plus de 60 ans d'Histoire, dans l'espoir de pouvoir construire sa vie de famille et, peut-être, se révéler à lui-même...

    « Un enfant n’est-il pas une nuit d’amour qui se prolonge indéfiniment ? »

    Après un démarrage un peu laborieux pour moi, je me suis plongée dans cette saga générationnelle et j'ai voyagé avec Marc sur les traces d'Hippolyte. Voici un récit subtil qui nous emporte à la découverte de trois générations, dont la troisième souhaite accueillir convenablement la quatrième. En s'adressant à son futur enfant, Marc s'adresse aussi à son père, et surtout à lui-même et à nous... « Tu vois, je m’adresse à toi puis je m’adresse à mon père, spirale de la reproduction qui nous aspire et nous protège à la fois. »

    Amanda Sthers nous entraîne avec elle et Marc dans l'Egypte des années 1940, mais aussi en Grèce, en Italie et en France (principalement à Paris). De nombreux thèmes sont abordés, traités ou effleurés dans ce court roman : famille, paternité, religions, quête d'identité, politique, post-colonialisme, homosexualité, l'art et la danse... Moins de 300 pages pour plus de 60 ans d'Histoire : bravo ! Le roman foisonne de culture générale (historique, religieuse, géo-politique) pour nous entraîner dans cette fresque subjective de la deuxième moitié du XXe siècle. Quelques célébrités (Henry Miller, Picasso, Barthes...) se glissent dans les destins extraordinaires d'illustres inconnu.e.s ordinaires, héros et héroïnes de ce roman instructif et entraînant.

    « Les livres sont les fossiles de la pensée. »

    J'ai retrouvé avec plaisir la plume imagée d'Amanda Sthers. On décèle la parolière et l'autrice de théâtre capable de nous immerger en quelques mots-images. Amanda Sthers mêle habilement récits, confidences, retranscriptions d'enregistrements 'sonores', lettres, descriptions de photos... Son écriture est toujours aussi fluide, percutante et délicate selon les moments. Les retranscriptions audio qui jalonnent le roman donnent du rythme ou au contraire, permettent une pause dans la narration parfois très dense (très condensée, avec peu d’alinéa). Le style d'Amanda Sthers est aussi plein de sensibilité, "empreintes d'autant d'affection" comme écrirait Marc. J'ai souvent été émue par plusieurs personnages centraux ou secondaires.

    #Lesgestes #NetGalleyFrance

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    Couverture du livre « Les gestes » de Amanda Sthers aux éditions Stock

    Joëlle Buch sur Les gestes de Amanda Sthers

    Le roman s’ouvre sur une lettre d’un père à son fils adoptif. Marc veut transmettre à Camillo l’histoire de sa famille originaire d’Egypte. Il veut surtout lui parler de son père, Hippolyte, né en Grèce et de son grand-père, des figures paternelles assez absentes. Il est donc question de...
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    Le roman s’ouvre sur une lettre d’un père à son fils adoptif. Marc veut transmettre à Camillo l’histoire de sa famille originaire d’Egypte. Il veut surtout lui parler de son père, Hippolyte, né en Grèce et de son grand-père, des figures paternelles assez absentes. Il est donc question de relation père-fils, de paternité, de famille, de secrets, de transmission. Marc souhaite ne pas transmettre les mêmes gestes, traumatismes, à son fils.
    Les personnages sont haut en couleur. Hippolyte brûle la vie par les deux bouts. Grand séducteur, il ne peut être l’homme d’une seule femme. A l’inverse, Marc peut toujours compter sur sa mère, son pilier. Les gestes ont une importance. Vous retrouverez des allusions et des liens tout au long de votre lecture.
    Un roman foisonnant, un peu trop à mon goût. L’écriture nous emporte dans un tourbillon d’événements, pas le temps de respirer dans cette fresque. Toute la vie de cette famille se déroule à 100 à l’heure. Un roman agréable à lire mais je préfère incontestablement son précédent, « Le café suspendu », véritable coup de cœur que je vous recommande.
    Je remercie Netgalley et les éditions Stock pour cette lecture

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    Couverture du livre « Les gestes » de Amanda Sthers aux éditions Stock

    Calimero29 sur Les gestes de Amanda Sthers

    Alors que Marc et son mari vont accueillir un enfant colombien adopté, son père, Hippolyte, meurt. Marc éprouve alors le besoin de transmettre à ce fils qui arrive ce qu'est sa famille et plus particulièrement ce que fut Hippolyte. Il s'adresse directement à lui dans un monologue qui lui permet...
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    Alors que Marc et son mari vont accueillir un enfant colombien adopté, son père, Hippolyte, meurt. Marc éprouve alors le besoin de transmettre à ce fils qui arrive ce qu'est sa famille et plus particulièrement ce que fut Hippolyte. Il s'adresse directement à lui dans un monologue qui lui permet de digérer son passé, pardonner et comprendre ce père qui fut si souvent absent.
    L'auteure nous transporte d’Égypte en France, en passant par la Grèce et l'Italie, des années 30 à nos jours. Le narrateur, Marc, reconstitue l'histoire de son père à travers des photos, des enregistrements audio, des lettres, une recette de cuisine, trouvés après sa mort, en vidant son appartement.
    On retrouve un thème cher à Amanda Sthers, celui de la famille et de la transmission. Ici, il s'agit essentiellement de filiation père-fils, de la paternité, comment un père absent peut créer un trauma dans la construction d'un fils (le père d'Hippolyte a disparu avant sa naissance et Hippolyte, lui-même, abandonnera son fils alors que celui-ci fête ses 18 ans et ne donnera aucune nouvelle pendant douze ans).
    L'auteure trace le portait de deux hommes (Hippolyte et son père) égoïstes, ne pensant qu'à assouvir leurs passions, flamboyants, démesurés, infidèles, faisant souffrir leur compagne. La mère représente alors la seule base solide sur laquelle se construisent les fils même s'ils admirent leur père pour leurs défauts qui en font des personnages hors normes, hauts en couleur.
    Dans ce texte, les gestes sont particulièrement importants, d'où le titre : ceux qu'on hérite de ses parents, ceux qu'on garde de l'enfance, ceux qui disent plus que des mots, ceux qui relient, ceux qui traduisent une fragilité...
    Certes, l'écriture est belle, le sujet propice à convoquer ses propres souvenirs mais ce thème est de ceux qui nourrissent la littérature et je n'ai rien trouvé, dans ce roman, de bien différent de ce que j'ai déjà lu par ailleurs.
    #Lesgestes #NetGalleyFrance

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