Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
L'appartement new-yorkais de l'artiste Arleen Schloss a vu se succéder, à partir d'octobre 1979, les expérimentations d'une tribu improbable entre no wave, poésie sonore et arts visuels. Ce sont les Wednesdays at A's, dont le programme hybride et radical emplit chaque semaine, dix-huit mois durant, le loft du 330 Broome Street de concerts, performances, lectures ou expositions, toujours animés par une exigence festive.
Pour annoncer les événements, des dizaines de flyers sont réalisés à la photocopieuse par les artistes invités et les amis. Dessins, collages, détournements, jeux typographiques et annotations manuscrites peuplent ainsi un ensemble bigarré de traces vouées à l'éphémère, quoique déjà quelque peu fétichisées par les protagonistes. Ces flyers racontent au plus près l'aventure des Wednesdays at A's, de façon chronologique, comme ils témoignent des préoccupations d'une période fertile où les corps et les machines se rencontrent, au-delà des genres et des disciplines, dans une ville au bord de la faillite.
Baptiste Brévart et Guillaume Ettlinger ont rencontré Arleen Schloss à New York en 2011. Ils ont entamé ensemble un travail archéologique sur cette mémoire évanescente et ils ont rassemblé un grand nombre de documents exceptionnels et inédits. Avec la précieuse contribution de Pauline Chevalier et Guillaume Loizillon, ils retracent ainsi une histoire parallèle des arts à New York dans les années 1980.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...