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Julio Le Parc égratigne le milieu artistique : un texte humoristique, provocateur et critique du sculpteur et peintre argentin, figure majeure de l'art cinétique et de l'op art.
En février 2013 le Palais de Tokyo présente la plus importante rétrospective française jamais consacrée à Julio Le Parc. À cette occasion les éditions Jannink publient Voleur de paroles dans la collection « L'art en écrit ». L'auteur s'y glisse dans la peau de commentateurs imaginaires : le critique, l'artiste raté, le marchand d'art, le collectionneur... égratignant ainsi les divers acteurs du milieu artistique. Dans ce texte humoristique, provocateur et critique, Le Parc revient sur un texte initialement rédigé en 2000 pour les Musées de Cholet. Il y commente le manifeste « Assez de mystifications », qui fut écrit et distribué à l'entrée de la Biennale de Paris de 1963 par le GRAV (Groupe de recherche d'art visuel), dont il est l'un des membres fondateurs.
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