Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
10 avril 1910. Aux Cahiers de la Quinzaine, Charles Péguy publie Apologie pour notre passé, de Daniel Halévy. Corrigeant les épreuves de son collaborateur, Péguy trouve cette défense du dreyfusisme beaucoup trop timorée. Le 17 juillet, il prend un ton beaucoup plus énergique dans Notre jeunesse. Mais Halévy trouve certains termes de ce cahier blessants pour lui. On parle de duel. Des amis s'interposent. Péguy, durant l'été, écrit Solvuntur objecta pour s'expliquer:Péguy est un enfant du peuple; Halévy, malgré l'intérêt qu'il porte aux paysans et aux ouvriers, reste un bourgeois. Ils ne parlent pas le même langage, d'où le malentendu. Mais bientôt Péguy délaisse la polémique pour la critique littéraire. Il nous parle de Corneille, de Racine, de Hugo, surtout, en des pages devenues célèbres. Et Solvuntur objecta, qui est devenu Victor-Marie, Comte Hugo, paraît sous ce titre le 23 octobre 1910.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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