Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Dans les montagnes, retiré du monde, un réalisateur de films d'horreur, Morbus Delacroix.
Culte, misanthrope, fou.
Parmi ses fans, une étudiante en cinéma.
Fascinée, intrépide, inconsciente.
À Toulouse, un as des effets spéciaux est retrouvé mort, ligoté sur un lit d'hôpital.
Et si ce meurtre trouvait sa source dans un film maudit ?
Pour le commandant Martin Servaz, peut-être la plus grande énigme de sa carrière...
CET OeIL DANS LA NUIT N'A PAS FINI DE VOUS FIXER
Un Minier pur jus.
Comme d'habitude des meurtres à gogo, des flics en danger, un ou des psychopathes, une course contre la montre et les atermoiements sentimentaux et familiaux habituels du commandant.
C'est morbide, rythmé et dévoile une nouvelle fois ce que l'âme humaine à de pire.
Et puis, ce clin d'oeil à Thilliez quand Servaz serre la main de Sharko au 36, ;-)
Un bon cru
Dernier tome à ce jour des enquêtes de Martin Servaz ... Quelle histoire !! j'ai adoooré ! On est pris, dès les premières pages, dans une enquête de malade sous fond de films d'horreur ... Un vrai kiff ! L'ambiance est excellente ... J'ai eu des images de scènes effroyables ! J'ai lu (il y a quelques années déjà) le tome précédent, la chasse. J'avais bien aimé mais sans plus ... Ici, j'ai un coup de coeur ... Vraiment ! Bien envie de me lancer dans les premiers tomes de cette saga ... Si vous suivez assidument cette série, ce tome vous touchera davantage car vous êtes attachés depuis 7 tomes à ces personnages ! Un thriller, polar que je vous conseille vivement mais attention, il y a quelques scènes terribles pour les plus fragiles !
Une jeune étudiante en cinéma obtient un rendez-vous avec un réalisateur de cinéma à la réputation sulfureuse. Morbus Delacroix a réalisé des films d’horreur de plus en plus outranciers jusqu’à un film maudit jamais sorti en salle, « Orpheus ». Depuis il vit en reclus dans les Pyrénées et refuse toute interview. Ce rendez-vous est donc une sacré aubaine pour Judith, mais pourrait s’avérer être aussi un piège. A Toulouse, dans un hôpital psychiatrique, un malade en a tué un autre avant de s’enfuir, et le commandant Servaz est chargé de l’enquête. Une enquête de plus pour Servaz et son groupe, ou une enquête de trop ?
La dernière enquête de Martin Servaz (à ce jour, car la fin ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle va continuer) va choquer les fans de la saga et ils n’en sortiront pas indemne. L’intrigue navigue dans les eaux troubles du cinéma de genre, et plus particulièrement du cinéma d’horreur. C’est un sujet sur lequel Bernard Minier a visiblement beaucoup travaillé car, dans le roman, les références cinématographiques sont nombreuses et, pour ce que j’en sais, plutôt pertinentes. Evidemment, ce type de cinéma véhicule pas mal de clichés et d’idées reçues sur lesquelles le roman navigue allègrement, c’est de bonne guerre : films maudits (« Poltergeist », « l’Exorciste »), snuff movies, rumeurs de tournage plus ou moins glauques etc... Comme souvent, l’intrigue est double au départ. D’un côté le réalisateur d’ « Orpheus », un réalisateur qui met particulièrement mal à l’aise (il est détestable, hautain, et surtout malsain), reçoit la visite d’une jeune étudiante. Pendant tous les premiers chapitres on se dit que la jeune Judith se jette bêtement dans la gueule du loup et que le roman n’est pas très subtil. Mais c’est trompeur, cette intrigue là va finir par s’étoffer jusqu’à un rebondissement, que j’avais quand même vu un peu venir. L’autre intrigue consiste en une enquête sur la mort suspecte d’un, puis de deux, puis de trois techniciens de cinéma ayant œuvré eux aussi sur le film maudit de Delacroix. Cette intrigue là est plutôt conventionnelle mais assez réussie, les éléments s’enchainent, le tout se suit avec intérêt. Cela dit, cette partie de l’intrigue nous réserve un coup de théâtre qui s’avère aussi choquant qu’inattendu. Je n’en dirais rien de plus sauf que la saga « Servaz » ne sera définitivement plus jamais la même après ce choc. C’est rare qu’un écrivain de roman noir ose faire quelque chose de ce type, surtout quand il a patiemment construit, livres après livres, une saga cohérente et populaire. Les deux intrigues se rejoignent après ce moment (assez terrible, je préviens les fans) pour donner une fin qui déçoit un tout petit peu. Cette fin, pleine de révélations plus folles les unes que les autres, flirte avec le « to much » à mon sens. Une révélation c’est bien, deux c’est encore bien, à partir de trois, l’effet « waouh » est amoindri. Ici, j’en ai compté 4 dans les 10 derniers chapitres, c’est un peu trop, ça finit par le plus faire très crédible ! Le tout dernier, en plus, on le sens venir de tellement loin que ça fait plus soupirer qu’envie, à mon sens. Le roman se termine en pleine action, avec plein de questions non résolues sur la vie privée de Servaz, c’est pour cela que je ne doute pas une seule seconde que la saga va se poursuivre. Pourtant, au milieu du roman, je n’aurais pas parié dessus, mais Bernard Minier ne peut pas abandonner le héros récurent qui a fait son succès du jour au lendemain. Ce roman est indéniablement, en dépit de ses petits défauts, un des plus réussi de la saga, d’abord parce que l’intrigue est bien menée en dépit de quelques outrances, et parce que Servaz à mis un peu d’eau dans son vin sur son côté « vieux c.. ». Et puis, aussi charmant qu’inattendu, il y a un mini cross over dans le livre, avec un autre héros récurent d’un autre écrivain à succès. Je laisse aux amateurs du genre le plaisir inattendu de voir deux personnages bien connus se saluer devant une machine à café.
Cela commence ainsi : Mathias Laugier, un décorateur de cinéma, se meurt d’un cancer dû à l’amiante cotoyé sur les plateaux de tournage. Sur son lit de mort, il confesse au prêtre Daniel Eyenga être « un des démons de l’enfer »… et lui confie une clé USB à remettre à un certain Kenneth Zorn, un producteur vivant dans un manoir des Côtes d’Armor… Judith Tallandier, une étudiante en cinéma, a obtenu le Saint-Graal, un stage auprès du réalisateur iconique de films d’horreur, Morbus Delacroix. Celui-ci a mis fin brusquement à sa carrière quelques mois plus tôt pour se retirer au fin fond des Pyrénées. Mais sur le trajet de la jeune femme d’étranges messages semblent la mettre en garde ou la dissuader de faire ce séjour. Le commandant Martin Servaz enquête sur le meurtre de Stan de Welz, un spécialiste des effets spéciaux interné dans un hôpital psychiatrique de Toulouse. Il a été lacéré et vidé de son sang et a étouffé après avoir été forcé d’ingurgiter des abeilles… Le patient de la chambre voisine s’est évaporé, il est considéré comme le principal suspect mais aucune caméra de surveillance ne révèle quoi que ce soit sur la disparition et le meurtre…
Ce livre se veut un hommage au cinéma d’horreur: des films cités au long du récit jusqu’à la trame elle-même de ce roman, Bernard Minier nous invite à une immersion dans ce domaine. Un prêtre pour commencer comme dans l’Exorciste, un être de bonne foi qui a très tôt la certitude d’avoir affaire aux forces du mal. Mais pas de sciences occultes ni de démon dans ce roman, uniquement la folie humaine, qui se suffit à elle-même pour nous horrifier. Un asile psychiatrique où a lieu un meurtre des plus sadiques ainsi qu’une disparition énigmatique : imaginez la caméra braquée sur les portes des chambres d’où personne n’entre ni ne sort alors que les parois des pièces se gorgent de sang… Et puis cette jeune étudiante dont on devine bien vite qu’un piège pervers se referme sur elle dès lors qu’elle pénètre dans le manoir de Morbus Delacroix, un réalisateur réputé dément et tyrannique, qui vit là avec sa compagne, connue pour avoir interprété le rôle de la célèbre comtesse hongroise Élisabeth Báthory… Un jeu dangereux s’installe entre ce trio de personnages…
Les thèmes abordés vont au-delà de la réflexion sur le cinéma d’horreur et traitent également de problèmes de société très actuels: les abus sexuels dans le monde du cinéma (Morbus Delacroix a beaucoup de points communs avec Harvey Weinstein, par exemple…), le manque de personnel dans le monde médical et le manque de moyens des forces de l’ordre. Les Pyrénées en toile de fond « c’était un pays de pluie, de silence et de secrets. Un pays où les bouleversements du monde n’arrivaient qu’amortis, filtrés par des siècles de patience« , un lieu retiré du monde où Bernard Minier y installe l’horreur…
L’écriture est très visuelle, instaurant un climat anxiogène et terriblement addictif, j’ai dévoré ce roman très rapidement ne boudant pas mon plaisir de retrouver l’équipe du commandant Servaz. Mais quel terrible sort l’auteur réserve t-il à ses personnages !!! Un auteur a malheureusement tous les droits sur eux (à moins de croiser Annie Wilkes dans la vraie vie
Beaucoup de frayeurs mais peu de mystère par rapport au final.
Ok! C’est du Minier. Ok! C’est plein de frissons et de scènes effroyables. Ok! Ça se lit d’une traite ou presque. Mais pour ma part je n’ai pas retrouvé le Bernard Minier de « La Chasse », « Soeurs » ou « Glacé ». Serait-ce parce qu’on en attend toujours plus d’un auteur qu’on a mis sur un pied d’escale ? Il nous a déjà donné de nombreuses heures de lecture addictive et je l’en remercie.
Pour ne pas trop en dévoiler je ne parlerai que de la mise en place du polar où meurtre, torture, carnage, haine, vengeance, appât du gain, deuil et stupidité sont au programme. Le commandant Martin Servaz de la Clim est toujours de la partie.
L’incipit ouvre sur un rêve épouvantable où tout est glacial et atroce. Pas grave, et on pourrait même ajouter que cela tombe bien car c’est celui de Morbus Delacroix. Morbus est un fabuleux réalisateur de films d’horreur. Ses rêves tombent à merveille pour nourrir son imaginaire cinématographique. Tout serait bien ainsi. Oui mais il y a l’intrusion de cette étudiante, intrépide et inconsciente à la fois, qui admire bien trop ce cher Morbus, disons comme les fans savent admirer leur objet du désir.
De l’autre côté on a Servaz qu’on tire du lit pour lui demander de rejoindre l’hôpital psychiatrique. C’est son meilleur ami et collègue, Vincent Espérandieu, qui l’appelle et organise dans la foulée la garde de son fils Gustav afin que Servaz puisse se libérer immédiatement. Servaz est attendu pour la constatation du crime de Stan Du Welz, homme de 45 ans, évoluant dans le monde du cinéma, assassiné dans son lit d’hospitalisation pour trouble psychotique à tendance schizophrénique paranoïde. Sur la scène de crime on a droit au nouveau Proc’ Hervelin, hyper jeune directeur de la SRPJ.
L’équipe policière est très vite sur les ponts afin d’épauler le commandant : Mavien, Mégan, Samira et Vincent. Ces personnages gravitent tous de manière sympathique autour de leur super chef.
Toulouse va très vite devenir le centre névralgique de scènes effrayantes à souhait. Le monde de la génétique et d’une fabuleuse connexion d’ADN entre des individus va étoffer les affaires. Et, en toute fin du livre, Servaz va lui aussi être emporté dans cette évolution scientifique.
Avec ce nouveau thriller, le commandant Martin Servaz et à son équipe de choc, Vincent Espérandieu et Samira Cheung reprennent du service pour notre plus grand plaisir.
Cette fois-ci, un meurtre particulièrement horrible dans un hôpital psychiatrique va mener Servaz sur les traces de Morbus Delacroix un réalisateur de films d’horreur considéré par ses fans comme un génie absolu qui a subitement arrêté sa carrière douze ans plus tôt après le scandale de son dernier film retiré définitivement de la sphère publique.
En parallèle, Judith Tallandier, une jeune étudiante en esthétique du cinéma, a décroché une interview du « maître » Morbus Delacroix qui vit en ermite dans les montagnes au fond des Pyrénées et se rend chez lui. Tandis que le père Eyenga, venu apporter un peu de réconfort à Matthias Laugier, ancien décorateur de cinéma atteint d’un cancer en phase terminale, se voit confier une mystérieuse enveloppe à remettre en mains propres au non moins mystérieux Kenneth Zorn, producteur de cinéma qui ,quant à lui, s’est retiré sur une île privée de Bretagne.
Bien entendu, les cadavres vont se ramasser à la pelle, les pistes vont mener nos enquêteurs de Toulouse à Paris. Au rythme fou des fausses pistes et des rebondissements, il va s’avérer qu’un film maudit de Delacroix pourrait être à l’origine de ce déferlement de violence. Pour son enquête, Martin Servaz va découvrir le milieu glauque et inquiétant des acteurs et amateurs de films d’horreur que rien ne fait reculer. Lui-même et son équipe vont être mis à rude épreuve dans cette aventure et faire face au Mal absolu.
Avec un final à « couper le souffle », Bernard Minier met, là aussi, ses lecteurs à rude épreuve…
Bernard Minier fait partie depuis quelques années des têtes d’affiche du thriller français. Depuis « Glacé », il a su se faire sa place avec sa série du commandant Servaz. De mon côté, à part quelques rares exceptions, j’ai toujours adoré son travail !
Ce nouvel épisode nous immerge dans le milieu des films d’horreur. L’enquête tourne très rapidement autour d’un réalisateur atypique dont l’œuvre est à l’origine d’un grand nombre de mystères. Au fil des investigations, les secrets les plus enfouis refont surface et dévoile des vérités effrayantes.
Comme dans toutes les suites, on est content de retrouver les personnages que l’on suit au fil des épisodes. Martin Servaz, à qui il est arrivé un certain nombre de mésaventures auparavant, n’est pas au bout de ses peines dans cette histoire. Lui qui survit grâce à ses quêtes de justice, se retrouve confronté une nouvelle fois à des évènements tragiques. En plus, il a des histoires anciennes qui le poursuivent. A chaque fois, il pense en avoir terminé avec mais le passé ressurgit toujours. Comme le lecteur se sent proche de lui, il subit à ses côtés.
Cette nouvelle enquête a été l’occasion pour moi d’apprendre des choses sur les films d’horreur et ses coulisses. N’étant pas un adepte, j’ai découvert beaucoup d’information sur le sujet grâce à cette aventure particulièrement documentée.
L’écrivain n’a rien perdu de son efficacité. Les chapitres s’enchainent à une vitesse folle, le scénario nous embrouille l’esprit, le tout avec une plume très accessible. Ma lecture a donc été frénétique et j’ai dévoré le livre en peu de temps. Vous aurez compris que « Un œil dans la nuit » est pour moi un bon cru de la série. Je vous recommande ce thriller si vous n’avez pas peur d’entrer dans un monde plutôt glauque et de vous octroyer quelques frayeurs !
https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/06/12/bernard-minier-un-oeil-dans-la-nuit/
Une nouvelle aventure de Martin Servaz qui se plonge dans l'univers du cinéma d'horreur. Dans ce nouveau tome, nous suivons l'enquête de Martin qui est confronté à une série de meurtres particulièrement malsains et violents. Rapidement, il découvre que ces meurtres mènent à Morbus Delacroix, un cinéaste culte de l'horreur, obsédé par le mal, et à son film maudit Orpheus. Parallèlement à cela, nous suivons Judith, une jeune étudiante en cinéma, qui part à la rencontre de Delacroix, dans sa villa au fin fond des Pyrénées, et de son univers dérangeant.
Comme toujours, Bernard Minier nous propose un page turner qui se lit tout seul. L'intrigue se déroule sur une semaine et est addictive. Les chapitres courts et nerveux, ainsi que les multiples rebondissements, permettent un rythme soutenu et un suspense à couper au couteau. Pour Un œil dans la nuit, l'auteur a regardé plus de 200 films d'horreur. L'enquête se déroule dans une ambiance horrifique, angoissante et très sombre. Un très bon thriller.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...