Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Les jeux d'enfant finissent bien Quand j'étais petit, j'ai rêvé que mon père m'emmenait dans les bois où il y avait un cadavre. Il l'enterrait et me disait que je ne devrais jamais en parler. C'était la seule chose que nous ayons jamais faite ensemble, père et fils, et j'ai promis de ne rien dire. Mais contrairement à la plupart des rêves, le souvenir de celui-ci ne m'a jamais quitté. Et parfois, quand j'ai bu, je ne suis plus absolument sûr : Etait-ce seulement un rêve ?
Pendant toute son enfance, Augusten Burroughs a vu son père comme un être impénétrable. Jamais vraiment absent, et pourtant effroyablement lointain. Présence silencieuse, à peine signalée par une toux éraillée dans la pièce d'à côté et des volutes de tabac. En grandissant, le fossé n'a cessé de se creuser, le père se terrant dans un monde où son fils n'existait pas. Augusten vit progressivement naître en lui un ressentiment sinistre. Alors pouvaient commencer les jeux...
Avec Un loup à ma table, Augusten Burroughs se risque à écrire l'indicible familial et évoque avec impétuosité et innocence son rapport au père, entre haine acerbe et tendresse infinie. Il dynamite les clichés de l'autobiographie.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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