Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Au milieu des années 1960, Ulrike Ottinger est peintre, Paris est ébranlé par des images de guerre et de révolution. Elle est chez elle dans la Nouvelle figuration, une forme parisienne de pop art, et le style narratif de ses tableaux emprunte à des scènes du quotidien, à la bande dessinée, à la photographie et à la publicité. Les rituels de tous les jours s'y mêlent à des références à des personnalités historiques et littéraires. Alors que le combat quotidien fait rage, ses héros font une pause chez Ulrike Ottinger, comme Che Guevara qui s'étire sur un canapé et sirote un verre sous la forme du « Penseur » ou Allen Ginsberg, poète beat de la première heure, qui n'a « plus rien à dire et plus rien à pleurer ». Car la révolution, l'artiste semble s'en être aperçue très tôt, dévore toujours ses enfants.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle