Igor Quézel-Perron, évoque l'amour de la sagesse, en trois lignes. Chaque haïku ou tercet, dont la forme permet d'associer l'exigence d'écriture à la concision de la réflexion, s'appuie sur la pensée d'un philosophe.
C'est un ouvrage sans prétention, mais documenté. C'est un ouvrage rigoureux et parfois fantasque...
Les trois premières parties « Étonnements et absurdités », « Philosophie du quotidien » et « Croyances et religions » jouent, parfois sérieusement, avec les concepts et les notions. Ici, tout est subjectif. La dernière partie est plus didactique. Elle permet de retrouver des principes philosophiques et engage plus le « sujet pensant ». Quelques maximes se suffisent à ellesmêmes, d'autres susciteront peut-être l'envie de se plonger dans les textes originaux.
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