Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Après le terrible bombardement du 5 janvier 1945 et ceux qui suivirent, dont l'effi cacité militaire a été jugée contestable, Royan était en ruine. La ville commémore tous les ans ce drame, honore ses morts et ses libérateurs par des plaques et des stèles. Sa reconstruction, dans le contexte social et économique difficile de l'immédiat après-guerre, compliqué par la question du dédommagement des sinistrés, sera menée de main de maître par l'urbaniste et architecte en chef Claude Ferret nommé par le ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme (MRU), ses adjoints Louis Simon et André Morisseau, et leur équipe de jeunes architectes enthousiastes. Pourtant, aucune marque de reconnaissance de la ville pour ces « héros » de la Reconstruction, pas une place, pas une rue ne porte le nom de l'un d'eux. Au contraire, et jusqu'à un passé récent, certaines oeuvres emblématiques, le casino, le portique du Front de mer, la poste, le palais des congrès, la maison Métropole, ont été soit détruites, soit défigurées, soit déplacées. Grâce au travail d'historiens, d'architectes, d'élus, d'associations, cet immense travail de construction d'une ville neuve dans les années 1950 a été reconnu et défendu, pour les qualités, et parfois les défauts auxquels on peut remédier, de son urbanisme et de ses architectures publique et privée. Ce petit livre veut y contribuer et rendre toute la place à laquelle ont droit ceux qui contribuèrent au relèvement de la cité balnéaire de Royan, baignée par la lumière de l'estuaire de la Gironde.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle