Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Tout ce qu'on peut rassemble les poèmes de Pierre Présumey directement liés à la mort volontaire de son fils en janvier 2008. Tous ces poèmes sont des élégies, au sens ancien du mot, c'est à dire des poèmes lyriques marqués par la perte des choses ou des êtres aimés.
Ils donnent une consistance à la désolation de ceux qui restent et offrent une résistance à l'effacement qui menace la mémoire de celui qui est parti.
Conscient des pouvoirs et des limites du langage poétique, l'auteur utilise de multiples formes d'expression : longues narrations nourries de mythologie et de souvenirs intimes, éclats de mémoire brefs et tendus, sonnets aboutis ou défaits, jusqu'à l'épitaphe finale.
Jamais triomphante, renonçant lucidement à l'illusion du tout et à la tentation du rien, cette poésie trouve ses ressources spirituelles et ses images essentielles auprès d'une terre toujours aimée, à « hauteur d'homme ».
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !