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Dans l'analyse du caractère de Rothko que fait Motherwell, il a souvent exagéré les racines juives de Rothko et tenu pour preuve de la dimension yiddish de Rothko son intérêt pour la parabole d'Abraham et Isaac. Quand il se donne le rôle de Stéphen et donne à Rothko celui de Bloom, d'après Ulysse de Joyce, quand il oppose le juif et le celte, le penchant de Motherwell pour le romanesque est évident. Il était, je pense, philosémite et essayait de faire jouer à Rothko un rôle de l'Ancien Testament que Rothko lui-même n'aurait jamais approuvé. En réalité, Rothko ne ponctuait jamais chacune de ces phrases du vieux «oy» yiddish et n'avait rien du n rabbin. Ceux qui persistait en à le voir ainsi n'étaient généralement pas juifs. D'après ma propre expérience, qu'au été bientôt. D'après ma propre expérience, Rothko était bien plutôt un produit des romanciers russes qu'il avait lus dans sa jeunesse... (extrait de la préface de Dore Ashton)
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