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Les beaux mensonges ou spécial K sont deux titres édités dans cette série mais qui sont en réalité la même histoire je voulais vous avertir.
Une nouvelle héroïne, moderne et acérée.
Une enquête tortueuse, un livre qu’on ne lâche pas.
Rendez-vous en bourgeoisie nantaise, entre parties fines et femmes trompées, là où les apparences règnent, là où les apparences tuent.
Pourquoi Anne Arnotte s’est-elle suicidée en laissant sa fortune à un inconnu ? D’une ex-star du porno au curé du village, de la bourgeoise humiliée au directeur-général, tous ont quelque chose à cacher. Pour le meilleur ? Pour le pire ? Que signifient ces tatouages ? Et le sang, retrouvé par la gouvernante ?
Céleste Ibar quitte Paris et reprend du service à la PJ de Nantes après une agression brutale. Elle rêve de retrouver une vie normale et sereine. Mais ça part mal : on lui reproche sa première arrestation. A peine arrivée, déjà mise au ban du service, elle est envoyée constater le suicide d’une figure locale. Affaire pourrie.
Justement : est-ce réellement un suicide ? Rien ne colle. Des objets manquent, la victime a été violentée et son corps est marqué d’une étrange manière. Un grain de sable vient faire voler en éclat une enquête menée tambour battant. Céleste devra imposer sa personnalité particulière, son style acéré. Elle déterrera malgré elle des secrets profondément enfouis, dont les remugles continuent de hanter les vivants.
Céline de Roany nouvelle romancière de polar nous plonge dans cette série avec Céleste Bar, capitaine de la PJ de Nantes, dans cette première enquête l'affaire semble être un suicide qui n'en ai finalement pas un. Nous rapidement plongé dans le vif du sujet, on retrouve une multitude de personnages et de pistes, les fils s'entremêlent. Tourment, Doute, Addiction, Prostitution, Viol, Vengeance, une intrigue captivante, tout est bien ficelé, rien nous est occulté. Un excellent whodunit. Quelques Trigger Warning sur les propos de certains passages.
"La vie au grand air avait parfois cet effet-là, de faire vieillir l’écorce plus vite, même si elle ralentissait le temps à l’intérieur. "
"Même au nez des policiers qui pouvaient en sortir comme ils voulaient, ça puait la sueur, la peur et l'angoisse de ceux qui s'y étaient succédé. La détresse de tous les précédents occupants suintait les murs.
Laisser tremper quelqu'un dedans avait le même effet qu'une marinade. ça attendrissait la viande."
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