Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Nos enfants posent toujours les bonnes questions au mauvais moment : « On ne sait rien de ton enfance. » Ils ont raison, je n'ai jamais pris le temps de leur dire : « De mon temps, tu sais. » À seize ans, cette phrase de mes parents, de tous les parents, m'agaçait ; aussi ai-je pris le soin de ne jamais la prononcer à mes enfants.
La peur du ridicule. peut-être !
Il faut laisser du temps au temps, mais plus notre vie s'allonge, plus elle raccourcit !
Le questionnement, aujourd'hui de mes enfants, demain peut-être celui de mes petits-enfants, exige une remise en ordre de la résurgence anachronique des souvenirs qui, çà et là, affleurent les nuits d'insomnie.
Il me parut évident dès mon premier récit « Faut-il pleurer, faut-il en rire » que le journal par ses repères calendaires permettait à un demi-siècle d'écart, l'évocation des souvenirs et la chronique relevant parfois de la sottie, d'une actualité qui est aussi celle de mes enfants et petits-enfants.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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