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L'aurore apparaît ici comme la pierre de faîte de l'architecture de cette oeuvre poétique. Sans doute, elle occupe une place de choix dans la floraison poétique de Prince Arnie Matoko. Par cette symbolisation cosmogonique, le poète traduit ainsi l'idée d'une rupture. Mais il s'agit d'une rupture rationnelle, qui nous permet de mieux comprendre les errements d'hier pour en faire les succès de demain. À ce titre, l'aurore réhabilite notre être après des nuits insomniaques, mélancoliques ou suicidaires. Des nuits qui deviennent cauchemardesques à cause des répercussions mortifères des jours poignardés, de victimisation arbitraire, d'emprisonnement de la raison ou tout simplement de lassitude, à force de voir le « pays et l'humain » dans la précarité. C'est ainsi qu'il faut comprendre « Sous les ailes de l'aurore », dont l'instance titrologique révèle déjà une nouvelle manière de penser notre existence : saisir l'essence des choses pour éviter d'être victime de l'ignorance et du désespoir.
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