Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Dans l'analyse de la consommation, les sociologues s'intéressent plus aux styles de vie des ménages qu'au montant de leurs dépenses, plus à l'usage des biens commercialisés qu'à leur mise en concurrence sur les marchés, moins à la rationalité des arbitrages qu'aux obligations sociales, moins aux mouvements des prix qu'aux aspirations et aux déceptions des consommateurs. La consommation dépend du revenu, mais en partie seulement.
Ce livre compare les pratiques de consommation telles qu'elles sont décrites dans les monographies classiques sur la culture de classe. Il se concentre également sur la consommation de masse et sur le débat que son interprétation a suscité entre les sociologues néomarxistes européens. Enfin, l'interdépendance des consommateurs conduit l'auteur à s'intéresser aux biens conviviaux et à l'évolution des valeurs collectives relatives à la consommation. L'ordre social dépend moins de la quantité de produits accessibles que des usages collectifs et des modes de vie auxquels donnent naissance les nouveaux biens et les nouveaux services de la consommation de masse.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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