Par manque d'information ou tout simplement par manque d'intérêt, il n'est pas faux de dire que, généralement, les français ont des idées très vagues sur les notions économiques et financières qui guident pourtant, leur vie et leur avenir. Le plus souvent, ils se réfugient derrière les partis politiques et leurs idéaux. Or, quand on est encarté dans un parti, quel qu'il soit, on y adhère pour suivre quasi aveuglement les idées, parfois à l'envi.
Depuis plusieurs années, le monde Occidental vit une longue période de crise. Crise des « subprimes » américains certes, mais également, une crise sur fond de piteuses gestions des chiffres des Nations. Or, cette crise a été accentuée par des initiatives de financiers peu scrupuleux qui, comme des rapaces, en ont profité pour se gaver sur les marchés dérivés. Partout en Europe, on achète de la dette avec nos propres dettes. Inconfortable bien-sûr. L'horizon est sombre. Soyons clairs, à force de faire du social sans faire de lien avec l'économie, les français auront tôt ou tard des grincements de dents...
Une France prospère, comme durant la période des trente glorieuses, ne se verra pas de sitôt. Les temps ne sont plus les mêmes. Mais aujourd'hui, il convient d'expliquer toute la vérité aux français. Peut-être sera t'elle mal perçue ? C'est fort probable. Cependant, il est souhaitable que nos politiques arrêtent de jouer «petits bras». Il faut réduire les dépenses publiques en prenant des mesures drastiques et concrètes. Stimuler l'esprit d'entreprise et l'innovation tout en décourageant les profiteurs du système de la société, et sanctionner ceux qui se détournent des règles de la citoyenneté. Il y va de l'avenir de notre pays et de nos jeunes, pour que ces derniers, comme nous il y a cinquante ans, puissent encore croire en leurs ambitions.
Le lourd pessimisme affiché par les français repose sur des problèmes sociaux certes, mais également amplifié par des facteurs sociétaux qui aggravent insidieusement leur vie au quotidien. En France, l'immigration enregistrée lors des cinquante dernières années ressort comme un cinglant échec. Tous les politiques le reconnaissent ! Une minorité agissante des immigrés discrédite la majorité silencieuse, une situation aussi regrettable que réelle. On observe une poussée de l'Islam radical, et, à cet égard, je citerais Talleyrand qui avait dit ; « Tout ce qui est excessif est insignifiant » Je rajouterais, dangereux.
Sur ces sujets de société, il faudra du temps, surtout ne pas cédé au laxisme national qui a trop perduré. Car la France doit regagner au plus vite sa crédibilité industrielle, règlementer la finance dans le cadre Européen et rétablir l'ordre républicain autant que nécessaire.
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