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Sac de noeuds, fuite en avant, et vacances forcées

Couverture du livre « Sac de noeuds, fuite en avant, et vacances forcées » de Moise Marce aux éditions Societe Des Ecrivains
Résumé:

Le narrateur nous propose ici un premier roman dans lequel il a fait un mélange finement dosé " de fiction, d'humour, d'autobiographie et de poésies ".
Pour dénoncer avec un certain humour, mais pas sans une certaine gravité. Car ses souvenirs lui déchirent les tripes quand il nous raconte des... Voir plus

Le narrateur nous propose ici un premier roman dans lequel il a fait un mélange finement dosé " de fiction, d'humour, d'autobiographie et de poésies ".
Pour dénoncer avec un certain humour, mais pas sans une certaine gravité. Car ses souvenirs lui déchirent les tripes quand il nous raconte des injustices dont il fut témoin et la méchanceté des hommes qui avaient pour mission l'exploitation et l'asservissement des êtres humains qui avaient le tord d'être démunis, donc plus faibles. Méthode qui jalonna son enfance sous le joug inhumain de certains colons français. À la fin de la deuxième guerre, au début de la Libération et plus tard encore en Guadeloupe, là où l'auteur vit le jour en 1945. Il fit ses premiers pas dans la misère absolue. Il assista aux injustices, à la brutalité et à l'inhumanité que subissaient ses parents et d'autres, dans l'asservissement de certains êtres qu'on qualifierait plus de tortionnaires que d'autres choses, quand soi-disant l'esclavage était fini. C'est volontairement qu'il refuse de dire humain en parlant de ces gens-là. Mais il ne faut pas oublier que les ficelles de ce système étaient tirées depuis Paris. Il a été lui-même contraint d'abandonner l'école à l'âge de onze ans pour aller travailler dans les champs de cannes avec son père, afin que ce dernier conserve la modeste cabane que le colon leur prêtait tant que ses parents travaillaient pour lui presque gratuitement, ce qui les maintenait en asservissement total.
Il dénonce l'injustice et la discrimination que subissent les pseudo-Français des Dom et des Tom. Ils ont assurément les mêmes devoirs, mais jamais les mêmes droits.
Les inégalités devant la justice et d'autres. Mme Rachida Dati, ministre de la Justice, le 18 février 2008, dans la matinale sur Canal +, déclarait que " la même justice devait être appliquée pour tous, riches ou pauvres ", elle a raison. Elle sait que cela n'a pas toujours été le cas ! J'espère qu'elle est la mieux placée pour le savoir et y remédier. Ceci est mon attente...

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