Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Rumeurs de coquillages ressemble à un seau rempli de la pêche à pied sur les sables de l'estran, l'eau de mer à mi-corps dans le ressac des coulées, où l'on aime se ressourcer et trouver du bien-être. Les mots de passion bruissent, incitent au plaisir du toucher, caressent la sensualité, réveillent l'humeur vagabonde, réchauffent les coeurs transis. D'une nouvelle à un propos, on décode ces bruits émergés du fond du coeur, ces ébahissements chantés sous l'inspiration que la nature offre généreusement à nos regards capricieux. Ainsi, les nouvelles de terroir veulent captiver le passant honnête et les propos nostalgiques ou impertinents nous interrogent. Les rêveries mélancoliques s'assoient dans le luxe mouillé d'écume marine. Les ravissements s'enflamment au regard de la beauté de la vie. Même les coups de gueule sur la perversité humaine trouvent, en ce terrain improbable, un chemin vert au creux duquel s'épanchent la joie de vivre ou l'émotion de l'amour encore adolescent. à la lecture buissonnière de cet ordre voluptueux, la tessiture de la voix de l'auteur semble vouloir prendre le lecteur pour témoin d'une époque qui foutrait le camp dans les draps sales d'un crépuscule érubescent. Que faire d'autre sinon survivre et lire en soi, s'adapter aux lumières de la nuit qui peuplent le cosmos ; parler aux étoiles, enfin espérer voir un jour l'aurore d'un monde meilleur poindre à l'horizon. Renaître. Et puis transmettre, et donner, et puis aimer, encore aimer...
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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