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« Je n'ai jamais demandé à naître djinn.
Être comme moi, c'est l'assurance de mener une vie d'incertitudes. La discrétion est devenue une seconde nature pour nous. Et pour quoi ? Pour échapper à des êtres vicieux, avides de ce qu'ils ne peuvent obtenir autrement que par la force... » Rozenn Kaplang est une princesse djinn, une magie ancestrale coule dans ses veines. Pour cette raison et durant de longues années, ses ancêtres ont souffert de la domination des dagnirs.
Depuis, la paix a été rétablie ; une paix au goût amer et incertain.
Afin de tirer un trait définitif sur ce douloureux passé, une union entre princesses et princes héritiers est envisagée. Mais peut-on se fier à un peuple qui a maintenu le vôtre en esclavage pendant des siècles ? Rozenn devra choisir entre la résignation, la fuite, ou la rébellion...
https://fantasybooksaddict.blogspot.com/2020/08/rozenn-tome-1-laetitia-danae.html
Lorsque j’ai lu dans le résumé qu’on allait aborder le thème, peu mis en avant en littérature, des Djinn, j’ai tout de suite été séduite.
L’univers est riche et plein de surprises avec une culture à part entière. Il est difficile d’en parler sans vous spoiler. Néanmoins, l’auteure s’offre même le luxe d’intégrer des allusions à des mythes célèbres comme Shérazade, qui nous permet de nous raccrocher à quelque de chose de connu.
L’intrigue est, quant à elle, parfaitement menée car tout est fait pour susciter notre réflexion, notamment les indices disséminés ici et là, qui viennent apporter de nouveaux questionnements et du mystère.
Par ailleurs, j’ai beaucoup apprécié la diversité des personnages mais nous nous intéressons principalement à 3 sœurs : Odeleen, Rozenn et Daire. Ces dernières sont des princesses Djinn, qui ont toujours vécu protégées des Dagnir, un peuple qui les asservit depuis la nuit des temps, malgré la fin de l’esclavage. Elles vont alors devoir sortir de leur zone confort pour affronter ce peuple.
Nous suivons particulièrement le point de vue de Rozenn. Celle-ci est une jeune princesse djinn fougueuse pleine de mordant. En effet, elle sait où est son devoir mais elle ne se laisse pas influencer grâce à son caractère affirmé. Elle pose des questions et bien entendu, ce n’est pas du goût de tout le monde.
Puis, nous avons Odeleen, l’aînée un peu plus effacée mais la plus intelligente et Daire, la plus jeune, qui est tout son contraire. Celle-ci est très naïve et même si au début, je trouvais qu’elle apportait de la légèreté au récit, elle se laisse éblouir par les richesses des Dagnir et son comportement mesquin envers sa famille, a rapidement fini par m’agacer.
Pour conclure, ce premier opus est exceptionnel. Il m’aura peut-être manqué de l’action mais la découverte de l’univers original, de ses personnages aussi éclectiques les uns que les autres et les complots, ont su me captiver. J’ai d’autant plus hâte de poursuivre cette duologie !
Direction, un monde oriental fantastique et magique. Rozenn est une djinn. Elle vit en retrait des humains qui ont asservis son peuple afin de leur soutirer leur pouvoir. Bien que les temps ont changés depuis cette époque et que les humains ne les exploitent plus, ils restent à l’écart.
Rozenn est une jeune fille fougueuse, naturelle, intrépide. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, ni manquer de respect. Elle a un bon caractère, elle est certes à la fois gentille et généreuse, mais elle sait être brave et agressive quand il le faut. J’ai immédiatement accroché avec elle. C’est le genre de personnage qui plaît tout de suite et à laquelle on s’attache vite. Elle a un charme authentique et naturel avec une détermination sans égal. C’est une héroïne plaisante et très intéressante.
On a une intrigue juste superbe honnêtement. Le tout est bien construit et travaillé. On ne cesse d’être surpris. On suit Rozenn dans sa quête et on vit l’histoire avec elle. L’univers nous réserve des péripéties et des éléments auxquels l’ont ne s’attendait pas. Entre revirements de situations, magie, politique, romance, l’on passe un délicieux moment.
L’auteure a réussi à créer un monde qui nous subjugue et nous happe totalement. C’est juste top ! Elle nous offre une lecture écrite avec une belle plume. C’est précis et travaillé.
J’ai hâte de me plonger dans la suite ! Lancez-vous dans cette histoire captivante et palpitante vous ne verrez pas le temps passer, un vrai délice !
- Emy de LadiesColocBlog
J'entendais beaucoup de ce livre, qui récoltait beaucoup de critiques positives. J'étais ainsi plutôt curieuse de découvrir ce roman, d'autant plus avec l'ambiance orientale qui l'entoure.
On plonge ainsi aux côtés de Rozenn, une princesse djinn, qui va se retrouver à aller dans le palais de leurs ennemis, dans l'espoir, pour son père et le dirigeant ennemi, de faire la paix par le biais d'un mariage entre leurs enfants respectifs. Seulement, Rozenn se montre assez méfiante envers ce peuple qu'on lui a toujours appris à détester, et peut-être à raison.
Je dois dire qu'au niveau de l'intrigue, je ne m'attendais pas vraiment à ça. On se retrouve plus dans des intrigues politiques, dans la vie de Rozenn au palais et ses rencontres princières, plutôt que dans une histoire pleine d'action. Je pensais m'attendre à une sorte de rébellion de la part du personnage, et, même si on la retrouve d'une certaine manière, je m'attendais à ce que cela de manière plus active que ce que l'on a dans ce tome. Ainsi, j'ai eu l'impression que le temps n'avait pas tant avancé en tournant les pages.
En revanche, on en apprend petit à petit plus sur chacun des peuples, mais aussi sur une intrigue politique qui se dévoile un peu plus au fil des pages. Ce fut intéressant à suivre, de suivre le raisonnement et les réactions de Rozenn suite à ces découvertes. J'ai aussi apprécié en découvrir plus sur le pouvoir des djinns, sur leurs capacités qu'on devine pourtant amoindries par une entrave que chacun d'entre eux porte.
J'ai aussi beaucoup aimé cette ambiance orientale tout au long du roman, ne lisant que peu de livres avec cette touche plus "exotique". On découvre de ce fait des tenues traditionnelles, des prénoms mais aussi des objets typiquement orientaux que l'on ne voit pas souvent dans les romans.
Ce qui était intéressant également était ce qu'on pouvait retirer de ce roman. Par la biais de Rozenn, on se rend compte que les a priori ne correspondent pas toujours à la réalité. Rozenn déteste les dagnirs, parce qu'on lui a appris à le faire, à se méfier de tous ceux de ce peuple. Mais petit à petit, elle va se rendre compte que tous les dagnirs ne sont pas comme elle le pensait, que certains peuvent être tout aussi agréables que des djinns. Cela montre ainsi qu'il faut apprendre à connaître les gens, à revoir son jugement sur eux, et ce malgré les sentiments que l'on nous a inculqué envers eux.
Concernant les personnages, je les ai plutôt bien apprécié. Rozenn est quelqu'un que certains qualifieraient d'indomptable, qui ne veut perdre sa liberté pour rien au monde. Elle se bat pour ce en quoi elle croit, peu importe que les autres ne soient du même avis. Bien qu'elle puisse parfois sembler capricieuse, j'ai apprécié suivre ce personnage. J'ai aussi apprécié sa sœur aînée Odeleen, douce et sage, mais j'ai en revanche eu plus de mal avec la personnalité de Daire, qui s'intéressait plus aux choses superficielles du fait de son jeune âge. Concernant les princes, j'en ai apprécié certains, et reste pour l'instant réservée sur l'un d'eux, parce qu'à mon avis, ce qu'il montre n'est pas forcément ce qu'il est vraiment.
Au niveau de la plume, je dois dire que cela se lit très rapidement, et ce malgré que j'ai trouvé l'intrigue pas aussi active que je l'aurais pensé.
Pour ce qui est de la fin, elle ouvre sur le prochain et dernier tome de la série, et laisse deviner que le tout sera plus énergique, comme je le pensais pour le premier tome.
Pour conclure, je dirais que j'ai apprécié ma lecture avec ce côté oriental, malgré que cela ne correspondait pas tout à fait à ce que j'en attendais. Je pensais découvrir une intrigue dynamique au niveau de l'action, mais on se trouve plus dans des péripéties politiques dans ce premier tome. Néanmoins, le tout se lit très rapidement avec intérêt, et étant donné la fin, je pense que je lirais la suite qui s'annonce plus énergique que son prédécesseur.
Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/
--- Cet achat prévu de longue date ---
Vous l’aurez peut-être remarqué, mais je pioche bon nombre de mes lectures dans le catalogue des éditions Plume Blanche, et ce n’est pas pour rien. En effet, j’y découvre toujours des pépites, comme la série Le Porteur de Mort par exemple. Je ne pouvais donc pas passer à côté de Rozenn lors des Halliennales, ni d’une superbe dédicace.
Qu’on se le dise : je suis rarement rentrée dans un livre aussi vite, aussi facilement. Sans être remplie d’artifices, la plume de Laëtitia Danae est diablement efficace. Dès le premier chapitre, j’étais curieuse de connaître la suite.
--- À la découverte des djinns ---
L’auteure a fait des choix audacieux dans la construction de son monde. Djinns, tapis volants ou encore pégases : il fallait oser, car ce sont des éléments qui auraient pu nuire à la crédibilité du récit, tant ils semblent tirés des contes des Milles et Une Nuits. Mais, en vérité, cela n’a fait que renforcer la richesse de son univers.
Celui-ci se compose d’ailleurs de plusieurs décors, puisque l’histoire débute au sein de la Bulle, un arbre géant qui accueille entre ses branches le clan de Rozenn. Rapidement néanmoins, le lecteur embarque à dos de licorne pour le palais de Pretamia, la résidence du sultan dagnir…
--- Une intrigue de cour palpitante ---
Si ce premier tome démarre sur les chapeaux de roues, le rythme ralentit légèrement une fois les princesses installées à la cour, et heureusement car les nouveaux personnages sont nombreux. J’ai eu un peu de mal à retenir les noms des princes, mais la liste des différentes familles, insérée au début du livre, m’a beaucoup aidée sur ce point.
L’auteure s’est ensuite lancée dans des jeux de pouvoir passionnants à travers son héroïne, et quelle héroïne ! Laëtitia Danae a fait de Rozenn un personnage fort, suffisamment fort pour porter cette histoire jusqu’à son apothéose. Rozenn n’est pas résignée comme Odeleen, son aînée, ou naïve comme Daire, sa benjamine. Elle est, au contraire, bien décidée à ne pas se laisser charmer par les dagnirs, à déjouer les complots de ses ennemis de toujours.
J’ai aimé son caractère, ses accès de fureur, mais également l’amour inconditionnel qu’elle porte à ses proches. Pour autant, elle n’est pas invincible, insensible ou dénuée de faiblesses. Et c’est ce qui fait toute la complexité de ce personnage !
--- Sentiments ou faux-semblants ? ---
Si les princesses ont été invitées au palais du sultan, c’est bien pour s’unir aux princes dagnirs et, ainsi, mettre un terme aux inimitiés qui persistent entre les deux peuples. Enfin, ça, c’est la raison officielle. Je vous laisse toutefois découvrir par vous-même les motivations du sultan qui se cachent derrière cette manoeuvre politique…
Quoi qu’il en soit, Rozenn et ses soeurs n’ont d’autre choix que de côtoyer quotidiennement les princes, tous trois séduisants – je l’admets, on tombe clairement dans le stéréotype, mais ça colle tellement bien avec l’histoire qu’on pardonne aisément l’auteure. Or, dans ce contexte, la romance est incontournable, et je dois dire que je redoutais cet instant. J’ai cependant été rassurée en constatant qu’elle n’était pas prévisible, même si Laëtitia Danae a disséminé quelques indices, ici et là.
Bon, pour être tout à fait honnête avec vous, j’ai trouvé que les choses allaient un peu trop vite et que certaines scènes étaient clichés, mais cela n’a pas terni mon envie de poursuivre cette saga.
--- Ce besoin de tourner la page… ---
…ne me quittait plus ! Rozenn fait partie de ces sagas addictives pour lesquelles on est prêt à passer une nuit blanche. Chaque chapitre apporte son lot de révélations, chaque action son lot de conséquences, et le tout est parfaitement orchestré par Laëtitia Danae. Comme je l’ai déjà souligné, cette dernière maîtrise le rythme de son récit à la perfection. Je n’ai relevé aucun moment inutile !
L’histoire m’a donc tenue en haleine jusqu’à la fin, jusqu’à ce dénouement incroyable… qui m’a donné envie de me jeter sur la suite, ce que j’ai fait sans attendre ! On se retrouve donc dans quelques jours pour la chronique du tome 2.
Agréablement surprise par cette histoire de djinn, de fluide magique, de romance et de complots royaux. Ce roman d'aventure nous emporte dans un monde merveilleusement bien décrit, dans un décor oriental, basé sur la romance entre les personnages. Le thème de l'esclavage, des complots politiques, des liens fraternelles et de la liberté sont présents, mais mis en retrait face aux amours des sœurs, et leurs sentiments: Jalousie, trahisons, amours naissants... Le roman d'aventure devient une dystopie centrée sur les relations amoureuses. Il faut apprécier, mais au final, on adhère. On suit les rendez-vous amoureux qui s’enchaînent avec ferveur, et on dévore les pages. Rozenn, c'est surtout un décor, une ambiance, une histoire qui tisse sa toile autour des personnages. Je regrette que cet univers politique mis en place dans la seconde moitié du roman et qui s'avère diablement intéressant, ne soit pas plus développé. Sûrement dans le tome 2, comme l'annoncent les dernières pages.
On suit surtout le destin de Rozenn, qui est la plus prudente. Non contente d’être envoyée dans un palais royal, elle va se poser de multiples questions sur les véritables raisons de sa présence en ces lieux. Pas dupe pour un sou, elle en vient à s'obstiner et refuse d'épouser l'un des princes. Ce qu'elle veut c'est la liberté de son peuple.
Nous sommes donc emportés par une héroïne qui se bat, qui sait ce qu'elle veut et qui s'affirme. Ça fait du bien. Bien sûr, quand l'amour frappe à sa porte, elle devient soudain beaucoup moins méfiante. Mais ça, c'est une autre affaire.
L'action est présente, aux multiples rebondissements et intrigues et aux 1001 bals plein de robes et de coiffures ( encore ? ). Ouais, mais ça fait du bien parce que derrière les robes, il y a des armes qui se cachent sous les jupons, et là on a envie de lire la suite.
Alors, même si la couv' est un peu kitsch, c'est un roman dépaysant avec une femme de caractère, bien écrit, prenant, fluide et où l'auteur sait où elle va. Ça se tente !
Un gros coup de coeur pour ce roman de Laeticia DANAE, publié aux éditions Plume Blanche, dont je découvre le travail avec émerveillement. Ce roman faisait notamment parti de la box Mille et Un livres de Juillet 2018 ;) .
Petit topo sur l'histoire : Rozzen est une jeune princesse djinn vivant paisiblement avec ses soeurs, Odeleen l'aînée et Daire la cadette, au sein de ce que leur peuple appelle la Bulle de Mydriav. Ce petit hameau de paix est un cocon protecteur pour les djinns pourchassés par les Sang Visage, ces hommes sans foi ni loi qui chassent le fluide magique de cette nation longtemps asservie par les djanirs, nation sans pouvoir et ennemis juré des djinns. La famille de Rozzen fait partie des Intouchables, c'est à dire que contrairement aux autres djinns, il est impossible de "ponctionner" leur sang (ou leur fluide) impunément, cependant elle porte malgré tout ce tatouage au poignet, cette entrave qui l'empêche de faire usage de son pouvoir. Au fil des pages, on découvre que l'insouciance des trois soeurs est chamboulée lorsque leur père, le Grand vizir de l'île de Mydriav, leur impose un départ pour la ville djanir de Prétamia, où elles seront données en mariage aux enfants du sultan Maddy, les frères Cayden, Cameron et Callum. Réticentes au départ, elles se plient non sans appréhensions à la décision de leur père qui y voit une alliance essentielle pour la préservation de la paix. C'est ainsi que nos trois princesses s'envolent à dos de Shadhahvars, pour cette ville inconnue qui renferme de lourds secrets. Entre intrigues, sentiments, lutte des classes et manigances, Rozzen va devoir user de stratégie pour démêler les vrais visages des faux, et faire face à la terrible vérité qui l'y attend.
J'ai tout simplement a-do-ré ce roman aux influences orientales. On note quelques rapprochements avec les saga Harry Potter, le Trône de Fer ou encore B.O.A de Mélanie Laurent. L'ambiance des palais orientaux est présente sans être suffocante, l'ensemble est décrit avec harmonie. En bref, une pure moment bonheur et de lecture.
Le personnage de Rozzen, qui est l'héroïne du roman, est tout en nuances, imprévisible, entier. Elle est dotée d'un instinct sans faille, qui la pousse a être insolente et sûre de ses convictions. Ses propos et sa franchise parfois abrupts lui valent quelques péripéties lors de son arrivée à Prétamia, principalement auprès de la Sultane qui ne la porte pas dans son coeur. Attachée à sa nation, Rozzen va tout faire pour découvrir la vérité sur ce que son peuple endure, sans jamais renier ses origines. Sa soeur Odeleen apporte de la douceur et s'avère être une sorte de pilier. Réfléchie, mature, elle s'avère être une oreille attentive. de son côté, Daire succombe à l'immaturité légitime de son âge (16 ans) et au faste que sa nouvelle vie à Prétamia lui propose. Vous l'aurez compris, trois personnages aux caractères bien différents qui vont vivre leur nouvelle vie forcée de façon totalement différente.
L'écriture de Laeticia Danae est d'une fluidité comme je crois n'avoir que très rarement lue, elle rend l'histoire addictive et sans jamais présenter de temps mort. Elle sait rendre ses personnages vivants tout comme le décor. La magie qui entoure l'histoire des djinns est décrite d'une façon à ce que tout soit naturel, comme si ce que l'on lisait était la réalité (qui sait d'ailleurs, peut-être l'est-ce ;) ). Les premières pages plantent le décor en évoquant les différents familles djinns et djanirs avec l'illustration de leur entrave, ce qui permet aux lecteurs de se situer avant même la lecture. Chaque chapitre est précédé d'un petit paragraphe précieux qui met la lumière sur certaines zone d'ombres. Des petits détails que j'ai beaucoup appréciés et qui rendent le récits encore plus précis, plus complet.
Petit mot également pour le livre en lui-même que je trouve particulièrement original. La police d'écriture respecte l'ambiance orientale et le roman est lui même divisé en quatre parties distinctes qui délimitent agréablement les intrigues. Des arabesques ornent les coins, ce qui ajoute un certain charme à la lecture et nous plonge dans cette histoire venue tout droit des Milles et une Nuits.
En conclusion, je referme ce premier tome avec l'intime conviction que ce roman promet encore de très belles intrigues pour la suite. Je vous invite vivement à vous le procurer si vous aimez les héroïnes combatives, prêtent à tout pour faire cesser les injustices mais qui s'avèrent également tiraillées par leurs sentiments.
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