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1915. Deux hommes que tout sépare vont se rencontrer sur les champs de bataille. Lorenzo, jeune et brillant officier de l'armée italienne, et Nino le Sicilien, qui s'enrôle pour échapper à la prison après avoir commis un crime d'honneur. La guerre va faire d'eux des compagnons d'armes, des frères, avant que le règne de Mussolini ne les transforme en ennemis. Tandis que les hommes sont emportés dans le tourbillon des combats, le temps des femmes est venu. Elles vont s'engager dans la plus belle et la plus dangereuse des luttes, celle pour l'amour, l'indépendance et la liberté. Des premières heures du fascisme à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les passions politiques et les passions des amants, les haines et les ambitions s'entrecroisent violemment.
Une saga historique passionnante qui se déroule dans une période documentée ; la fiction côtoie les évènements réels.
Les cicatrices de la première guerre, l'Italie fasciste, la mafia, l'arrivée au pouvoir d'Hitler, la seconde guerre mondiale, la bataille de Stalingrad, l'invasion de la Grèce, la question de l'Ethiopie,...
On croise Mussolini, Hitler, le Général Patton, la voix de Staline, Beria et nos personnages évoluent dans cette époque tourmentée.
Il y a de l'amour, des amitiés indéfectibles, des trahisons, des morts, des loyauté au-delà de la raison et l'histoire se déroule sur près de 1000 pages intenses.
Un roman instructif, dramatique souvent, captivant et émouvant.
Vérone, 1915. Lorenzo Mori, jeune officier de bonne famille, s’engage sur le front de Trieste après un duel malheureux qui a vu mourir le tout nouveau mari de Julia, la jeune fille qu’il aime. Lors d’une permission, il l’épouse secrètement et quelques mois plus tard, elle met au monde une petite Laura. Sa joie est de courte durée. Julia décède huit jours après, laissant Lorenzo fou de chagrin.
La même année à Castellàccio, petit village de Sicile, Nino s’enrôle dans l’armée après un crime d’honneur. Il laisse derrière lui la belle Carmela dont il vient de tuer l’oncle pour venger la mort de son père. Ses deux meilleurs amis l’accompagnent dans cette funeste aventure où leur jeunesse et leur origine les désignent comme de la chair à canon que les officiers sacrifient sans vergogne. Après la mort de ses deux compagnons, Nino n’a plus goût à la vie et ne souhaite plus qu’une chose, mourir au combat.
Liés par ce même désir d’en finir avec la vie, Lorenzo et Nino s’engagent chez les arditi, une compagnie d’élite de soldats intrépides. Le téméraire Véronais et le Sicilien Taiseux vont former un binôme hors du commun, des frères d’armes collectionnant faits d’armes, honneurs et décorations.
Quand ils sont démobilisés, leurs chemins se séparent. A Vérone, comme dans toute l’Italie, on veut oublier la Grande guerre et on vilipende les soldats qui ont combattu pour quoi ? pour qui ? Lorenzo se rapproche alors de Benito Mussolini, rencontré dans les tranchées et adhère à sa thèse d’une Italie unie, fière et conquérante.
En Sicile, Nino a tout perdu jusqu’à son nom qui figure en bonne place sur le monument aux morts. Défiguré par une bombe, celui qu’on appelait le beau Nino met son avenir entre les mains d’un parrain de la mafia dont il devient le garde du corps. Carmela, certaine de sa mort, a épousé un écrivain en vue qui a même reconnu son fils. Sans existence légale, il devient l’ange de la mort de Cosa Nostra.
Quel superbe roman ! Une fresque historique qui raconte le fascisme italien de ses prémisses à sa chute à travers le destin de personnages réels et fictifs. Presque mille pages mais pas un mot de trop. C’est instructif sans être ennuyeux, documenté sans être pédant. C’est aussi romanesque sans être mièvre, foisonnant sans être brouillon.
On voyage de Vérone à la Sicile, de Trieste à Rome, de l’Ethiopie à l’URSS, de l’Allemagne au lac de Garde. On croise des mafieux, des notables, des fascistes, des communistes, des traîtres et des hommes d’honneur.
Portée par des personnages forts et attachants, faits de chair et d’os, de convictions et de sentiments, cette rhapsodie italienne explique et détaille la montée du fascisme en Italie, son apogée et sa chute inéluctable. A dévorer !
un énorme coup de coeur.
Sur 30 années, de 1915 à 1945 nous suivons le destin des 3 personnages principaux Carmela, Nino et Lorenzo ainsi que celui de l'Italie.
Difficile de résumer l'histoire d'amour de Carmela et Nino qui prend racine dans leur jeunesse près de Palerme. Nino, dès le jour de la proclamation de la guerre en 1915, va s'enrôler afin d'échapper à la prison. C'est sur les champs de bataille à la frontière avec l'Autriche qu'il va rencontrer Lorenzo qui est un jeune officier. Une amitié indéfectible, à la vie à la mort, va naître entre les deux hommes.
Carmela est une jeune femme intelligente, courageuse, audacieuse et saura diriger sa vie d'une façon libre et entière.
Ces personnages se croisent, se perdent, se retrouvent comme si des fils invisibles les reliaient. Leurs destins dépendent de leurs propres choix mais aussi de l'histoire de leur pays.
Cette Italie qui sort exsangue de la Première Guerre Mondiale : des milliers de soldats sont morts pour rien dans des combats quant ils n'ont pas été fusillés car considérés comme insuffisamment patriotiques.
Aux mêmes causes, les mêmes effets : l'Italie se trouve dans presque la même situation économique que l'Allemagne. Situation sur laquelle va fleurir le fascisme.
Dès lors nous, lecteurs, découvrons grâce au parfait mélange de la petite histoire avec la grande, l'évolution de la situation politique de ce pays. En effet, Jean-Pierre Cabanes n'hésite pas à faire de Mussolini et de son entourage des personnages de son roman en lien direct avec Carmela, Nino et Lorenzo.
De la situation politique dans les années 20, en passant par la Guerre Civile Espagnole à la Seconde Guerre Mondiale, sans oublier le fonctionnement de la Cosa Nostra en Sicile, ce roman nous emporte dans le tourbillon de ces années fortement troublées sans jamais nous lasser. le talent de l'auteur est de nous instruire sur ce pan de l'histoire italienne sans jamais nous ennuyer et d'un peu mieux comprendre la situation politique actuelle dans la péninsule.
"Si vous aimez l'Italie, si vous aimez l'histoire, le courage et la loyauté, les grandes héroïnes, ce livre est pour vous", cette phrase inscrite sur le bandeau qui ceint le roman de Jean-Pierre Cabanes se présente comme un slogan de vente mais est, on ne peut plus près de la réalité !
Nous commençons le roman en 1915, en faisant connaissance avec Lorenzo Mori, jeune et brillant officier de l'armée italienne. De retour dans sa famille à Vérone, il apprend que Julia se marie avec Umberto Galluzzi, alors qu'ils s'étaient jurés fidélité l'un à l'autre. Lors du mariage, Umberto provoque Lorenzo et un duel s'ensuit, duel dans lequel Umberto perd la vie, suite à une crise cardiaque !
Mais la permission, pour Lorenzo comme pour tous les officiers, est annulée. Le 23 mai, la guerre avec l'Autriche est déclarée.
Au même moment, en Sicile, au village de Castellàccio, près de Palerme, Nino Calderone dont le père a été tué il y a tout juste un an pour avoir refusé de se plier aux ordres de Don Tomasini, apprend que celui-ci a mandé deux tueurs pour lui. Il déjoue le piège et se venge. Après ce crime d'honneur, Il n'a qu'une seule solution, pour échapper à la prison : s'enrôler immédiatement pour la guerre à l'Autriche, tout en laissant Carmela, son amour.
Lorenzo et Nino vont donc se retrouver à la guerre, enrôlés dans les "Alpini". Ils deviendront compagnons d'armes, frères. pour toujours.
Ces deux êtres que tout va séparer, Lorenzo étant devenu fasciste et proche du Duce alors que Nino lui, a intégré la mafia locale, vont néanmoins être amenés à se croiser. Ils n'oublieront pas alors, cette fraternité et ce respect.
Ce sera donc par le biais de ces deux hommes que nous allons suivre cette épopée magnifique qui s'étale depuis les années 1915 jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais outre ces deux héros, ce seront également les femmes qui seront elles aussi de fascinantes héroïnes.
Jean-Pierre Cabanes, dans ce roman d'aventures très documenté, nous livre une envolée historique superbe depuis la première victoire politique de Mussolini, renvoyé par le Parti socialiste car il était interventionniste, la création ensuite de son mouvement les Fasci italiani di combattimento le 23/03/1919, en passant par l'Espagne, la Grèce, Stalingrad pour s'achever en 1945, dans la vallée de La Valteline.
Rhapsodie italienne est une véritable fresque formidablement documentée, palpitante, pleine de suspens et fort instructive.
J'ai été sensible aux charmes de l'Italie, aux passions amoureuses vécues par les personnages et à leur fidélité en amour comme en amitié, tout aussi bien qu'en politique. Des mots en dialecte parsèment le livre et lui apportent de l'authenticité.
Seul petit bémol, mais vite oublié, j'ai trouvé que le croisement et les rencontres entre les personnages étaient parfois un peu trop prévisibles.
Captivant, de la première à la dernière ligne, ce roman historique est à lire absolument.
Passionnant et addictif!On entre dans l'Histoire italienne par le roman,les vies de ces personnages féminins,forts et attachants.Mussolini devient le personnage autour duquel gravitent les autres héros,fictifs ou historiques.On apprend beaucoup sur l'évolution du Duce,les variations du fascisme:les 724 pages se dévorent!On fait fi de la vraisemblance,de ses personnages quasi-immortels qui sont presque tous des amoureux passionnés.
Comment instruire sans ennuyer!On vibre,s'attache...des destins hors du commun!
à conseiller pour mieux connaitre cette période,beaucoup plus efficace qu'un banal livre d'histoire.
Captivante, relevée, cette fresque italienne riche de faits, de rebondissements est à lire avant tout voyage en Italie et en Sicile. Au coin d’un feu, en plein hiver, cette épopée fera sens. « Rhapsodie italienne » est une envolée historique. Superbement menée par Jean-Pierre Cabane qui délivre un kaléidoscope sur une longue période de 1915 à 1940. Le style est plaisant, souple, habitué à donner du son et du rythme. Semblable à cette oralité passionnante dont on retient chaque parole en sa mémoire. Ciselé, agréable, vif, il s’épanche en premier lieu pour le seul intérêt du lecteur pour ses dires. L’attention est grande. L’enjeu est capital. 723 pages de délectation, de sources vives. Une histoire de renom orne ce roman qui se déguste à petites gorgées. A contrario, les pages tournent à vive allure tant cette histoire est prenante, instructive, douée. Plusieurs lectures font de cette « Rhapsodie italienne » un entrelac de plaisirs, de savoirs. Lorenzo, officier italien, Nino le sicilien. Deux hommes liés dans ce cornélien qui tel un aimant, font de la trame un jeu de couleurs, de sens, d’émotions, de contraires assemblés, dans un palpitant vénéré. Ici, se situe l’enjeu des différences entre deux camps, deux hommes emblématiques d’une Italie qui s’entretue à petits feux. Comment se frayer un chemin dans un corpus de dualité ? Comment ces deux êtres que tout sépare retrouveront-ils le point sensible d’une fraternité éclairante ? Lorenzo et Nino sont liés par la guerre, par les combats gémellaires d’une vie ancestrale à abolir, par les risques des batailles menées au front d’une Italie dont le manteau de haine s’amplifie. Dire l’acte qui va tout changer dans leurs consciences ? Non ! Lisez ce roman ! Tout va basculer après les vents d’horreur d’une guerre quasi fraticide. Lorenzo est fasciste. Nino « ancilu monstru » mafieux qu’on aime de toutes ses forces, est l’extrême opposé. Les deux astres d’un pays en feu et en sang. Jean-Pierre Cabane dirige ses protagonistes dans ces nuances floues, torturées, haineuses et déloyales dont la tête pensante est Mussolini. La Sicile laborieuse, altière, digne malgré la mafia dont on comprend les signes et dont on rejette certains faits est dans « Rhapsodie italienne » un chant glorieux et émouvant. Les femmes sont elles aussi des héroïnes, des symboles historiques forts et le summum est là. Réussir à assembler les pièces d’un puzzle en touches historiques et romancées tout en restant fidèle au sceau italien. Ce roman est digne. De suspens, d’aventure, il est aussi une page mémorielle. Il est subtil et ses signaux sont forts. Il apporte cette pierre fondamentale à toutes réflexions indispensables et capitales. C’est une épopée resplendissante, magnétique qui touchera tous les lecteurs. Un grand film en devenir. Publié par les Editions Albin Michel.
Plusieurs des romans de Jean-Pierre Cabanes tournent autour de l’Italie et son histoire et
« Rhapsodie italienne » n’y déroge pas. Cette saga de plus de 700 pages nous plonge dans les remous des deux guerres mondiales et du fascisme dans l’Italie de cette première moitié du XXe siècle.
Le titre fait référence à ces poèmes épiques de la Grèce antique et c’est vrai qu’à travers le destin de ses personnages, le roman est, de sa première à sa dernière page, une véritable épopée qui ne laisse pas souffler le lecteur.
Le récit débute par un duel lors d’un mariage, l’amant trahit se nomme Lorenzo Mori. Nous sommes en 1915 à Vérone. Puis, changement de lieu et de personnages, nous voici en Sicile où le beau Nino Calderoni venge l’assassinat de son père et s’engage dans l’armée pour fuir la justice.
Nino et Lorenzo se battent pour libérer les terre irredenti, au pied des Alpes tenues par les Austro-Hongrois. Ces deux hommes que tout sépare vont se retrouver dans les troupes d’assaut, les arditi.
« Ce que tous deux ignoraient, c’est que leurs raisons d’entrer dans les troupes d’assaut se ressemblaient, un manque, un vide cruel dans la vie ». Très vite, le destin va les séparer. Tout les oppose. Tandis que Nino choisit une vie secrète au sein de la Cosa Nostra, Lorenzo adhère à l’idéologie fasciste et devient un proche de Mussolini. Malgré ce fossé, demeure une profonde et indéfectible amitié.
Á leurs côtés, bien sûr, des femmes inoubliables et au caractère bien trempé, des femmes amoureuses. Il y a la belle Carmela, la sicilienne amante de Nino et mère de Salvatore. Il y a Julia, l’épouse secrète de Lorenzo et qui défend la cause des ouvrières exploitées et misérables. Sa fille Laura à la destinée hors du commun mènera de durs combats dans les rangs des communistes.
L’auteur est très habile pour mêler la fiction à la réalité historique dans cette histoire tragique de l’Italie qui débute en 1915 et se termine en 1945 avec la chute du fasciste. Les personnages du roman ont de véritables rapports avec ceux qui ont marqué l’époque : Benito Mussolini et ses maitresses, comme la Sarfati qui l’a propulsé à ses débuts ou Clara Petacci qui mourra avec lui, ou encore le comte Ciano, gendre du Duce.
J’ai énormément appris sur l’histoire de l’Italie tant ce roman est bien documenté sans être assommant.
Des mots en dialecte sicilien ou en italien, avec leur traduction, donnent de la couleur au texte.
L’intrigue est bien charpentée et l’on navigue d’un personnage à un autre, on passe d’une action à l’autre avec facilité. Aussi, les redites qui émaillent le texte me paraissent superflues, voire pesantes alors que le lecteur n’a nul besoin de ces rappels.
Les personnages principaux ont des personnalités hors du commun, ils sont attachants mais ce côté invincible, cette façon de surmonter tous les aléas de la vie les privent d’une part de leur humanité et, à la longue, lasse le lecteur.
Le style est efficace, très dialogué mais il manque d’envergure.
Malgré ces petites imperfections, j’ai trouvé ce roman historiquement passionnant et d’une lecture agréable.
Rhapsodie italienne est une fresque énorme, très instructive, sur une période tragique de notre voisin italien, période négligée chez nous dans nos livres d’Histoire car, durant la même période, d’autres événements tout aussi dramatiques absorbent notre attention. Au cours de la lecture passionnante de ce livre, j’ai donc vécu en Italie de 1915 à la chute de Mussolini en 1945.
Jean-Pierre Cabanes est un auteur confirmé que je découvre grâce à une Masse Critique privilégiée de Babelio et aux éditions Albin Michel que je remercie. Cet écrivain a eu raison de s’attacher à la montée du fascisme italien, depuis ses sources jusqu’à sa chute tout en nous faisant vivre au plus près les dégâts considérables causés par cette idéologie.
Pour mener à bien sa rhapsodie – « Pièce instrumentale de caractère libre, proche de l'improvisation, utilisant des thèmes ou des effets folkloriques » - l’auteur débute en 1915, à Vérone, avec Lorenzo, jeune officier que j’ai tout de suite pris en affection tant son attitude est forte devant le coup dur qui l’accable. Julia, celle qu’il aime et devait l’épouser, se marie avec un autre ! Sans délai, l’auteur m’a plongé dans les détails des combines de ces familles italiennes qui seront la base du fascisme.
L’Italie va entrer en guerre pour tenter de prendre les terre irredente (Trentin, Istrie, Dalmatie) aux Austro-Hongrois mais voici soudain Palerme et cette Sicile que l’auteur semble bien connaître. Carmela, héroïne principale qui semble être illustrée par la splendide photo de couverture empruntée au photographe italien Ferdinando Scianna, Marpessa in Caltagirone, entre en scène.
Fille d’un riche propriétaire, elle aime en secret Nino Calderone que son père veut éliminer pour agrandir encore son domaine. Nino beddu, le beau Nino, je l’ai aussitôt adopté et son destin m’a captivé, intrigué, passionné, choqué parfois comme celui de Lorenzo.
Important à signaler, tout au long du livre, l’auteur m’a régalé de mots et d’expressions en italien mais aussi en dialecte sicilien. J’ai apprécié.
Comme Lorenzo Mori, Nino aime faire la guerre, se révèle d’un courage et d’une intrépidité incroyable. Avec ces quelques personnages principaux, bien d’autres vivent dans toutes ces pages, côtoient beaucoup de personnes ayant réellement existé. Avec eux, c’est toute l’Italie que j’ai vu vivre, évoluer et devenir fasciste pour échapper aux dirigeants corrompus avant de sombrer enfin dans la dictature et la compromission avec le nazisme.
Le Vatican repousse d’abord cette transformation puis s’en accommode et soutient enfin. Benito Mussolini est croisé d’abord comme journaliste sur le front puis comme patron d’un journal avant de s’affirmer comme dirigeant politique allant jusqu’à s’acoquiner avec Hitler après avoir envoyé tant de soldats guerroyer en Éthiopie, tuer, se faire tuer, massacrer pour quel résultat, comme à chaque fois ?
Tout au long de ce roman qui fourmille de références historiques importantes, Jean-Pierre Cabanes se montre très fort pour concocter des aventures amoureuses, des retrouvailles souvent rocambolesques mais cela donne toute sa saveur à cette Rhapsodie italienne impressionnante d’érudition et riche en émotions, un roman qui m’a captivé de bout en bout.
Chronique à retrouver sur : http://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
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