Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Depuis la révolution de 2011/2010, de nombreuses questions se posent aussi bien pour les Tunisiens que pour les observateurs avertis : pourquoi la Tunisie est le seul pays, dudit « printemps arabe », à avoir « réussi » sa « révolution » ? Pour quelles raisons le processus révolutionnaire n'a pas dégénéré en violence, malgré les assassinats politiques et le développement du terrorisme ? Dans quelle mesure le compromis constitue un rempart contre la violence ? Est-il pertinent de parler d'« exception tunisienne » ? ; En réunissant les meilleurs spécialistes en la matière, cet ouvrage collectif a l'ambition de développer une réfexion sociohistorique transversale et comparative à partir du prisme de l'idée-force de compromis. Le champ d'investigation est centré sur la société tunisienne, mais un regard comparatif sur d'autres expériences nationales de compromis permet d'alimenter le débat. D'où l'intérêt porté à des pays occidentaux - Allemagne, Belgique, Italie et Etats-Unis - mais aussi à d'autres pays arabes - Algérie, Liban, notamment.
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