Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Rêve en carton est un essoufflement salutaire, incandescent. Pour sauvegarder l'impossible et la chair partie en fumée. Reste cette partie cramée par les bombes et ébréchée par les lames des pluies diluviennes. Trois parties constituent ce recueil, Les derniers mots de ma mémoire (1995), La Nuit infinie (2017), Utopie (2019). Des mots ramassés dans la cendre après que l'auteur a tout perdu dans les flammes de ce qu'il appelle pudiquement les événements, des mots empilés les uns sur les autres, scalpant l'infinitude du monde, et enfin des rêves ressassés avec l'art du phénix, comme il sied après les feuilles brûlées et la mémoire jetée aux pourceaux. Rêve en carton est un cri organique, jeté sur un rail, entre deux infinis où le funambule est le somnambule. /DANS/ L'OSMOSE DES MONDES/ Utopie-Corps-Vents-Frontières/ Se croisent des temps-imperceptibles-indéfinis-espèce de toutes sortes - Ressac-Flux-Diversité-Corps-Langues-Reflux/ Nous inventons des chimères pour augmenter la vie/
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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