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Harry repensa à la « théorie» de sa fille Suzie. Soudain, un cri déchira son coeur. Un passager avait dû changer d'avis, modifier la donne, l'équilibre des forces car la tasse se renversa sur sa veste. Sa tête se fracassa sur le genou de son voisin. Le wagon-bar se retourna comme un insomniaque dans un lit. Le train déraillait ; rien ne pouvait plus l'arrêter. Un grondement métallique annonça le silence. Un silence qui contenait la vie de Harry et de tous les passagers. Le caillou au fond de sa gorge était remonté d'un coup et l'empêchait de respirer. Après quelques secondes, Harry réalisa qu'il ne pouvait plus bouger. Le nuage de lait sur sa rétine avait disparu. Harry Plunk s'en rendit compte quand il aperçut son voisin, les lèvres cireuses et le cuir chevelu couvert de sang. Mort. » « La beauté sauvera le monde ! » a écrit Dostoïevski dans son roman L'Idiot. Mais de quelle beauté parle-t-on ? Harry Plunk est l'un des plus célèbres marchands d'art de la planète et l'un des plus redoutés aussi. Un matin, il prend un train en direction de Londres pour assister à la vente des oeuvres de David More, plasticien anglais médiatique et indomptable. Mais le train déraille. Coincé dans l'un des wagons, Harry va se remémorer l'année qui vient de s'écouler : la mort de sa mère, ses amis fidèles et ceux qui n'ont pas hésité à le trahir, sa psychanalyste mystérieusement assassinée. Pour quelles raisons ce train a-t-il déraillé ? Qui a tué la thérapeute de Harry ? Pourquoi ne se souvient-il même plus du prénom de son père ? Harry, dévoré par un mal tapi en lui, fait fondre ce qu'il touche, les hommes comme les objets. Harry, terreur du monde de l'art, redouté, liquide tout, détruit tout. Jusqu'à sa propre existence ? Qui pourra l'arrêter ? Qui pourra le sortir de là ? Et si cet accident était la chance de sa vie ?
J'ai bien aimé le début de ce livre. Harry Plunk, galeriste star se retrouve coincé dans un train entre la vie et la mort après un déraillement. Il se remémore sa vie, personnelle (son enfance, la mort de son père, sa relation avec sa fille, ses histoires d'amour) mais surtout professionnelle et son ascension fulgurante dans le monde de l'art contemporain.
J'ai apprécié la description de ce monde sans pitié où l'on fait grimper les cotes à coups de buzz médiatique. Plunk évoque notamment sa relation compliquée avec un célèbre plasticien (qui ressemble beaucoup à Damien Hirst bien que l'auteur ne le cite pas en fin de livre...).
Malheureusement le roman s'égare assez rapidement et devient un peu confus, mêlant des meurtres (de la psychanalyste de Plunk) à des histoires amoureuses auxquelles on ne s'attache pas vraiment.
Une belle promesse qui n'est pas complètement tenue selon moi.
Ce livre pouvait être intéressant, enfin c'est ce que je me suis dit à la lecture de la quatrième de couverture. Un homme, richissime vendeur d'objets d'art, propriétaire de multiples galeries d'art, qui se retrouve bloqué après un accident de train et qui fait son introspection. Je m'attendais à un critique acerbe du monde de l'art, une critique sur le monde de l'argent...
Finalement, c'est une déception. Ce livre part un peu dans tous les sens et l'auteur n'a pas réussi à m'intéresser à la vie de cet homme. C'est un peu dommage car les thèmes que je m'attendais à retrouver sont finalement peu abordés, très survolés. L'auteur essaye un peu de développer le lien entre le vendeur et l'artiste mais on tombe dans la caricature avec la description des artistes.
Il y avait vraiment quelque chose à faire en creusant un peu dans ce monde de l'art, surtout que l'écriture est plutôt bonne. A la place de ça, on se retrouve avec un fouillis d'évènements plus ou moins intéressants sur la vie du marchand d'art dont certains sont très mal exploités voir même peu compréhensibles, par exemple ce qu'il se passe autour de la psychiatre.
Je n'ai peut-être pas tout compris, je suis peut-être complètement passé à côté mais en tout cas, c'est un roman qui sera vite oublié pour moi. C'est un livre qui aurait pu être bon avec ce style d'écriture et des thèmes riches, dont on peut sans doute tirer un bon roman, mais ici ça a fait flop.
La quatrième de couverture m’a attirée : Plunk, galeriste mondialement connu, se retrouve face à la mort et entame la rétrospective de sa vie.
Malheureusement, je n’ai pas été séduite par son histoire. Le style d’écriture est assez agréable, mais l’histoire du personnage principal ne m’a pas particulièrement intéressée.
L’auteur entremêle des passages narratifs de l’artiste David More, sans que je parvienne réellement à comprendre leur valeur ajoutée dans l’intrigue principale.
Je note toutefois quelques réflexions intéressantes, sur un monde où le mensonge et l’hypocrisie sont monnaie courante.
Une plongée dans le monde de l’art qui saura peut-être séduire les amateurs de ce milieu. Pour ma part, cette première lecture ne m’a pas vraiment convaincue.
Une impression mitigée que cette lecture même si la narration et l'écriture sont agréables. Le début du livre m'a rapidement intéressé avec le portrait de Harry Plunk, 53 ans, galeriste mondialement connu, marié avec une fille et déjà quelques cailloux dans sa chaussure : des visites hebdomadaires chez sa psy et la leucémie de sa mère âgée de 87 ans. Et puis, élément de dramaturgie dans l'histoire, le train qui relie Paris à Londres dans lequel il se trouve déraille et Harry se retrouve coincé dans la carcasse.
Le livre bascule alors dans le flash-back, une année en arrière lorsque Harry habitait encore New-York, et dans l'introspection. Les ennuis se sont accumulés pour lui entre une femme dépressive, une fille qui fait des siennes, la maladie de sa mère et problèmes professionnels notamment avec le fisc. L'introspection remonte jusqu'à l'enfance, là où peut-être des choses ont pu se dérégler pour Harry.
En parallèle de l'histoire, l'auteur présente un autre personnage, l'artiste David More, fantasque et en proie à des inspirations délirantes, et qui semble bien connaître Harry.
Je n'ai pas complètement réussi à m'intéresser pleinement à ce roman qui m'a pourtant intéressé dans les premières puis qui m'a eu un peu perdu et laissé de côté. Une deuxième lecture pourra peut-être me permettre de comprendre ce qui n'a pas complètement fonctionné dans mon rapport à cette histoire.
J'ai par exemple eu du mal à "switcher" entre la narration et les extraits du journal de David More.
Un livre à l'appréciation de chaque lecteur ...
J’ai été vraiment déçu. Sans doute parce que j’attendais beaucoup d’un thème que je trouve passionnant. Revisiter sa vie. Prendre conscience de l’importance de ses choix et des implications qui en découlent. Comment en suis-je arrivé là ? Quels autres choix aurais-je pu faire ? Est-il encore possible de modifier le cap sans renier ce que j’ai vécu ? Malheureusement, dans ce roman, on suit le parcours de deux hommes - un milliardaire et un artiste - sans jamais aborder réellement les questions que j’ai évoquées. J’ai vraiment l’impression d’avoir perdu du temps à lire cet ouvrage jusqu’au bout. Je trouve qu’il n’apporte rien quant à une réflexion approfondie sur le thème annoncé. Dommage, c’était un excellent sujet.
Harry Plunk, célèbre galeriste prend un train de Paris vers Londres qui déraille. Bloqué, il revoit des pans entiers de sa vie. Le temps de faire le point sur son enfance, sa vie de couple, son travail. Comment lui, parti de rien est devenu le galeriste en vue qui brasse des millions ? Est-il possible de retrouver une certaine innocence ?
Ce roman commence très bien mais s'enlise assez vite dans des considérations qui me laissent froid. Je peine à m'intéresser à Harry et ses états d'âme. En fait, il ne m'intéresse pas, ni lui ni sa vie. Néanmoins, je dois dire que tout cela est très personnel, le roman est bien écrit et pourra plaire à beaucoup de lecteurs. Il n'y a rien de totalement repoussant en son sein, le contexte du monde l'art contemporain un peu bling-bling un peu déjanté et/ou foutage de gueule est bien vu.
To plunk, in english, signifie balancer sans ménagement. Je n'irai pas jusque là d'abord parce que c'est un livre et qu'on ne maltraite pas les livres, ensuite, parce que ce qui n'a pas eu l'heur de me plaire pourra seoir à d'autres.
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