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Le 8 octobre 2014 marque le 150e anniversaire de la naissance du peintre Ozias Leduc de Mont-Saint-Hilaire. L'ensemble de l'oeuvre de ce grand artiste suscite toujours autant l'intérêt du public de même que les débats de spécialistes.
O Ozias Leduc a-t-il été le lien entre la peinture traditionnelle du XIXe siècle et les débuts de l'abstraction de l'après-guerre ?
O Au contraire, n'a-t-il été qu'un peintre du terroir isolé au pied du mont Saint-Hilaire ?
O A-t-il été un peintre symboliste d'envergure, peut-être le plus grand que le Québec ait connu?
O Sa foi religieuse a-t-elle habité l'ensemble de son oeuvre au point de le déconsidérer entièrement dans les milieux progressistes?
Cet ouvrage nous introduit d'abord dans un environnement paroissial qui a vu naître Ozias Leduc en 1864, un milieu pauvre de pomiculteurs et de menuisiers. C'est là que, tout jeune, Leduc se découvre un goût « pour les choses rares ». Ses maîtres l'encouragent et il part étudier et travailler à Montréal. Il commence dès lors à peindre des natures mortes reconnues comme des bijoux de l'art canadien. La peinture de paysages l'attire ensuite et il devient très réputé comme peintre d'église.
Au cours de ce voyage à travers la longue carrière d'Ozias Leduc, l'auteur nous révèle un artiste beaucoup plus complexe qu'on l'imaginait au premier abord. Que ce soit dans ses natures mortes, dans ses paysages, dans ses tableaux religieux ou même dans ses poésies, Ozias Leduc se fait humaniste en quête de beauté.
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