Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité.Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles:l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives. Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, on abordait des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion. La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices:ce qui compte, c'est l'immortalité.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !