Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Dans un poème écrit en Ombrie au cours de l'été 1953 et dédié à Cristina Campo, Mario Luzi évoque cette « terre qui s'abaisse humblement du haut de ses sommets, qui regarde de ses terrasses resplendir le ciel. » Huit siècles et des poussières auparavant, un autre poète, le premier de la littérature italienne, François d'Assise rendait grâce dans son célèbre Cantique des créatures à « .notre mère la T erre qui nous porte et nous nourrit qui produit la diversité des fruits avec les fleurs diaprées et les herbes. » Jean-Louis Jacquier-Roux flâne en Ombrie depuis plus de trente ans. Voici son carnet de voyage.
Jean-Louis Jacquier-Roux invite le lecteur à découvrir l'Ombrie pour ainsi dire « au ras des pâquerettes. » « Terra terra », traduiraient les Italiens, dans un style moins fleuri.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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