L'offre des services financiers assurée par les IMF aux pauvres exclus par les banques classiques divise les auteurs de l'école Welfarist et ceux de l'école institutionnaliste. Cette division qualifiée de « Schisme en microfinance », porte à la fois sur les approches d'offre des services financiers aux pauvres par les IMF et aux méthodes d'évaluation de leurs performances. Dans cet ouvrage l'auteur met d'abord en évidence les limites de ces deux écoles antagonistes et de celles qui préconisent leur complémentarité. Ensuite, il propose un nouveau cadre théorique adapté aux contextes de marchés fortement imparfaits comme celui de la RDC. Ensuite, l'auteur passe en revue les débats théoriques sur l'évaluation des performances sociales et financières des institutions de microfinance. Enfin, il présente sous un regard critique les méthodes et les instruments de mesure et d'évaluation de ces performances financières et sociales des IMF.
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