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Le hasard d'une promenade nocturne en forêt met en présence la narratrice, en quête de mystérieuses photos anciennes, et Laura, une jeune femme inconnue et familière à la fois. De pertes en rencontres, des plages de l'Atlantique à la Toscane et Amsterdam, et jusque dans une gare abandonnée des Hautes-Pyrénées, elles affrontent leur secret commun, les trompe-l'oeil de l'image et les feintes de mémoire, les horreurs du siècle et leur propre histoire de femmes. Voici un texte où l'on retrouve pleinement le plaisir de la lecture, où la recherche du sens est illuminée par les exigences d'une écriture faisant contrepoint à la pensée, et où le ton et l'autorité de la grande tradition président au jeu du souvenir et de l'oubli, de l'absence et de la présence. Bref, voici un récit que domine un personnage jamais nommé, qui n'est autre que l'écriture elle-même...
Impossible de mettre des étoiles, je ne sais pas si c'est bien ou pas.
A priori, ça avait l'air intéressant et l'écriture est belle, mais j'ai été complètement rebutée par la présentation.
Un livre très étroit où toutes les pages sont recouvertes d'une écriture sans respiration. du noir du noir, encore du noir. Pas ou peu de paragraphes, pas de dialogues. Tout ça m'a oppressée et j'ai abandonné à la cinquantième page.
Comment expliquer le bonheur, la joie, de retrouver les mots, la lumière de Anne-Marie Garat. Il y a quelque chose d'hypnotique et d'envoutant dans le style, quelque chose de magique dans la construction des phrases qui nous oblige, nous lecteur, à aller plus loin, à se poser entre deux lignes, à réfléchir sur le sens et la valeur de l'écrit.
L'histoire (comme dans "La Source", dernier roman publié l'an passé), débute simplement : une femme se rend dans le château d'un vignoble afin d'expertiser une caisse de vieilles photos. Cette caisse retrouvée dans les combles, suite à la vente du domaine, a suscité l'intérêt de l'ancien comptable qui gère la transaction (et indirectement notre curiosité de lecteur).
Raconté à la première personne, ce récit va aller bien au delà de l'enquête liée à ces photos (enfin, surtout liée à une boite de négatifs non développés), car c'est toute une galerie de personnages qui défile à travers les pages, des lieux, des rencontres, des souvenirs ... On s'y perd avec délice, pour mieux s'y retrouver plus loin, entre passé et présent, entre ici et ailleurs.
Laura (personnage clé du livre) estime qu' "...il n'y a pas de hasard ...seulement la convergence inéluctable des logiques ... qui font advenir ...l'accident programmé de leur rencontre ...". Permettez-moi d'en douter, Madame GARAT, car à la lectures de votre oeuvre, et même si l'on sent que le "destin" vous gêne, le hasard joue un rôle important dans les chemins de vos personnages, et c'est en cela que votre roman est magique.
Mais sans doute, avons nous, chacun à notre mesure, une définition et une expérience personnelle de ce que Carl Gustav Jung traduit par synchronicité.
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