Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Il me faut maintenant rendre justice à quelques-unes de mes sources et avouer de menus forfaits.
Le plus souvent, on choisit un titre une fois le manuscrit achevé. On hésite entre plusieurs propositions dont aucune ne satisfait pleinement l'auteur ou l'éditeur. Ici tout le contraire puisque c'est le titre d'un poème de Nikolaus Craigher de Jachelutta, Totengräbers Heimweh, mis en musique par Franz Schubert, qui déclencha la gestation de La nostalgie du fossoyeur. Ces onze récits, nés dans l'indépendance et le désordre, ont peu à peu constitué un cycle dont le fil, sans le secours d'Ariane, tente de pénétrer le dernier labyrinthe.
A quoi bon d'ailleurs le secours d'Ariane puisqu'il n'est pas prévu de retour ? J. B.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle