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Monographies de Bouloc, Villeneuve-les-Bouloc et Vacquiers

Couverture du livre « Monographies de Bouloc, Villeneuve-les-Bouloc et Vacquiers » de Adrien Escudier aux éditions Livre D'histoire
Résumé:

Ancien maire de Fronton et lauréat de la Société archéologique du Midi de la France, Adrien Escudier n'avait pas intégré les communes de Bouloc, Villeneuve-lès-Bouloc et Vacquiers dans ses travaux historiques sur le Frontonnais. Ici, il comble cette lacune pour « faire connaître à ses... Voir plus

Ancien maire de Fronton et lauréat de la Société archéologique du Midi de la France, Adrien Escudier n'avait pas intégré les communes de Bouloc, Villeneuve-lès-Bouloc et Vacquiers dans ses travaux historiques sur le Frontonnais. Ici, il comble cette lacune pour « faire connaître à ses compatriotes ces localités qui lui sont chères », à travers ces trois monographies étayées par des documents qu'il a recueillis pendant près de trois décennies. Pour ce qui concerne Bouloc, son entrée dans l'histoire coïncide avec l'érection de sa forteresse (au Xe siècle), même si la ville n'est mentionnée officiellement qu'à partir du XIIe siècle et si les grands moments qui ont marqué sa destinée se situent dans la période qui va du XVIe siècle (guerres de Religion) au XXe (guerre de 1914-1918), en passant par le dénombrement de 1686, l'élection consulaire de 1775, la Révolution, la description et l'histoire de la seigneurie. Pour Villeneuve-lès-Bouloc, il en va autrement, puisqu'on dispose de très peu de documents antérieurs à la Révolution.
Seule exception : le dénombrement de 1686. Pour le reste, André Escudier évoque la création du premier registre d'état civil de Villeneuve-lès-Bouloc (1793) et les faits marquants du XIXe siècle (1816 et 1821, fusion et séparation de Bouloc et Villeneuve-lès-Bouloc, 1844, fondation de l'école, 1875, inondation de la plaine de la Garonne...) ; puis il procède à une étude détaillée des églises de la localité et de la seigneurie à partir du XIIIe siècle et recense les dix victimes de la Grande Guerre.
Quant à Vacquiers, dont l'auteur a retrouvé les armoiries (ainsi que celles de Bruguières, Castelnaud'Estrétefonds, Gargas, Gratentour, Labastide-Saint-Sernin, Saint-Jory, Villariès, Saint-Sauveur...), c'est toute son histoire, riche et mouvementée, qui est retracée depuis le début des guerres de Religion (le fort, l'église et le village pillés et incendiés) jusqu'à la Grande Guerre : 19 enfants de la commune morts pour la France.

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