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Mon combat dans le couloir de la mort

Couverture du livre « Mon combat dans le couloir de la mort » de Charles D. Flores aux éditions Riveneuve
  • Date de parution :
  • Editeur : Riveneuve
  • EAN : 9782360130825
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Dans le couloir de la mort d'une prison du Texas, un homme clame son innocence depuis 1999.
Après trois mois d'un procès exclusivement construit à charge par un procureur WASP (white anglo-saxon protestant) avide d'être réélu sur son intransigeance face au crime, Charles Don Flores, un ... Voir plus

Dans le couloir de la mort d'une prison du Texas, un homme clame son innocence depuis 1999.
Après trois mois d'un procès exclusivement construit à charge par un procureur WASP (white anglo-saxon protestant) avide d'être réélu sur son intransigeance face au crime, Charles Don Flores, un hispano-américain de 29 ans, accusé d'avoir tué à Farmers Branch, une femme blanche de 64 ans, pour la voler, est condamné à la peine capitale. Commence alors une longue descente aux enfers et, au travers d'un cheminement intérieur alliant révolte et espérance, un témoignage permanent par tous les moyens de communication possibles sur la dégradation de l'humain au quotidien.
Dans les couloirs de la mort des pénitenciers américains, dans 34 Etats sur 50, on trouve des noirs, des latinos, des blancs aussi mais pas de riches qui peuvent se payer de bons avocats, seulement des pauvres que l'on détruit à petit feu, humilie et annihile méthodiquement.
Pour lutter avec la dernière énergie, Charles Don Flores écrit un livre publié à compte d'auteur: "Warrior within", et demande une reconsidération de son jugement relayée par des organisations abolitionnistes américaines et européennes comme l'ACAT (Action des chrétiens pour l'abolition de la torture) ou Lutte pour la Justice (comité de Pau).
Ce livre est un cri. C'est aussi un document de toute première main qui révèle l'envers du décor des sociétés démocratiques occidentales tant il est vrai, comme l'écrivait Dostoïevski dans "Souvenirs de la maison des morts" que "nous ne pouvons juger du degré de civilisation d'une nation qu'en visitant ses prisons."

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