Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Popularisé par Soul Makossa de Manu Dibango en 1972, le Makossa s'impose très tôt face aux autres musiques et danses africaines, le Soukouss congolais notamment. Parmi les prodiges du coin à avoir porté ce flambeau, il y a François Missé Ngoh. Cet Abo de Mbonjo, du département du Moungo dans le littoral camerounais, arrive par hasard en 1969, à 17 ans seulement, dans la musique en passant par l'école des bars avec l'orchestre Los Calvinos. Très vite, il se distingue, de par ses compositions d'une forme et d'une profondeur inégalables, comme le chanteur le plus prolixe de sa génération. Ce poète chanteur a conçu le Makossa comme une danse d'expression lyrique et de dénonciation des vices humains. Il est depuis longtemps entré dans la bibliothèque camerounaise et africaine des grands compositeurs.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !