"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au début des années 1990, Martin Kippenberger a développé l'idée d'une réseau souterrain: METRO-Net. Bien qu'il s'agisse de l'une des plus projets fascinants, sa mort prématurée en 1997 signifiait qu'il ne pouvait être mis en oeuvre que sous une forme rudimentaire. En 1993, une entrée de métro a été construite sur l'île grecque de Syros, suivie de deux autres: une en 1995 à Dawson, au Canada et l'autre en 1997 sur le nouveau parc des expositions de Leipzig. Cela a créé un moyen de voyager dans l'espace illimité de l'imagination. Sa convivialité dépend de l'imagination: sans la volonté de visualiser les tubes du tunnel et les trains souterrains en mouvement, ce projet reste un "Plan de construction insensé." Mais au moment où nous acceptons l'oeuvre d'art comme mode de transport pour les «voyageurs de l'esprit», alors sa pleine puissance peut se déployer. METRO-Net de Kippenberger était destiné à contrer la vie de paramètres prévisibles et rationnels avec un sens romantique du monde.
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