Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
"Le film le plus parfait jamais réalisé". C'est ainsi que le critique et théoricien américain Andrew Sarris décrivait Madame de... , un mélodrame extraordinaire tourné à la façon d'une comédie. Max Ophuls, le maitre franco-allemand estimé et copié par François Truffaut, Stanley Kubrick, Paul Thomas Anderson et Wes Anderson, y atteint - comme dans La Ronde - l'apogée de son art raffiné, allégorique, subtilement désespéré : une insoutenable légèreté de l'être et de la façon de filmer. À travers les vicissitudes d'une paire de boucles d'oreilles à Paris à la Belle époque, il raconte celles d'une femme (Danielle Darrieux) qui a vécu par plaisir et qui est morte par amour ; mais aussi celles d'une société qui danse, comme le personnage principal du premier épisode du Plaisir, autre chef-d'oeuvre du réalisateur, au bord du précipice.
Tout le film, entre bijoux, valses et galanteries, est résumé - comme l'art même de son auteur - dans la phrase que le général Charles Boyer dit à sa femme au sujet de leur bonheur conjugal :
"Ce n'est que superficiellement qu'il est superficiel".
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...