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Édition établie et présentée par Daniel Durosay. Fac-similé et transcription.
L'occasion du Centenaire du cinéma offrait un contexte propice à la mise à jour d'un scénario inédit d'André Gide, rédigé en 1928, pour favoriser les débuts de cinéaste de son ami Marc Allégret, dans les archives duquel le document est conservé. Avant que ce texte soit associé à nombre d'autres dans l'Anthologie du cinéma invisible de Christian Janicot, paru aux Éditions Jean-Michel Place (en co-édition avec ARTE), une édition séparée, reproduisant le manuscrit en fac-similé, feuillet par feuillet, avec texte imprimé en regard, propose à l'attention d'un lectorat ciblé un des derniers inédits de l'écrivain, et sans doute un de ses premiers écrits pour le cinéma, à cette date dans l'optique d'un film muet. Le texte est précédé d'une préface qui éclaire les circonstances de son écriture, souligne ses qualités spécifiquement cinématographiques, enfin s'efforce de rattacher la fiction au mythe personnel de l'auteur.
Le scénario de L'Oroscope rivalise avec Hollywood par l'abondance des péripéties et le faste de la mise en scène orientale. L'histoire met aux prises un jeune héros naufragé dans une île lointaine, confronté au spectacle énigmatique de l'ensevelissement d'une jeune princesse dans une caverne souterraine : le roi, son père, veut la mettre à l'abri d'une prophétie qui a prédit sa mort, dans le mois qui suit, de la main d'un étranger. Restés seuls dans leur île, les jeunes gens font connaissance, et naturellement s'éprennent l'un de l'autre.
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