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Quoi de pire qu'une personne qui s'est luis en tête de.
Bouleverser votre vie sous prétexte de faire le bien ? Changer ses habitudes "dire les choses", essayer de comprendre... Dans un coin perdu de l'Angleterre, des locataires se partagent un manoir délabré. Les propriétaires sont des aristocrates excentriques dont le fils de trente-sept ans jette à la moindre salissure ses gants de coton blanc. Un instituteur à la retraite pleure et transpire sans cesse.
Une "femme-chien" aboie et ne.
Connaît plus le langage des hommes. Une autre vit collée à sou petit écran et. mélange le. réel à l'univers des fictions quelle.
Regarde. Qu'importe ! Ce petit monde ne fonctionne pas si mal.
Jusqu'au jour où s'installe une nouvelle venue, ni belle ni laide, mais bien décidée, au risque de provoquer le drame, à mettre au grand jour les histoires cachées...
Le Manoir de l’Observatoire est une vieille maison de quatre étages que la ville et son urbanisation galopante ont rattrapé. Les sept habitants sont tous des solitaires. « Même si nous ne l’appréciions pas particulièrement, au moins y étions-nous habitués. La solitude était digne de confiance, presque une amie. Nous ne voulions aucun changement. Même si aucun d’entre nous ne souhaitait être le dernier occupant de l’immeuble, nous voulions aussi voir perdurer la monotonie de nos jours. Nous ne voulions pas de bruits. Nous ne voulions pas de mouvements brusques. » (p. 19). Mais un jour, ils découvrent avec effroi le message que le portier a affiché : dans une semaine, il y aura un nouveau résident au n° 18. En plus, le nouveau locataire est… « Une femme, ça c’était un choc. » (p. 34).
Le plus jeune résident est Francis Orme : il a 37 ans, il vit avec ses parents dont il s’occupe et il travaille comme homme-statue. C’est lui le narrateur, ma foi dans un style un peu vieillot et avec un côté absurde qui ne m’ont pas dérangée mais… J’avais très envie de lire ce premier roman d’Edward Carey pourtant je me suis ennuyée dès le début… Je me suis un peu accrochée, histoire de lui laisser une chance mais rien n’y a fait et j’ai préféré l’abandonner pour passer à une autre lecture. Je sais que je n’y reviendrai pas et que je suis peut-être passée à côté d’un chef-d’œuvre mais tant pis… Par contre, je jetterai quand même un coup d’œil à Le château, premier tome de la trilogie illustrée Les ferrailleurs paru en mars 2015 aux éditions Grasset.
https://pativore.wordpress.com/2015/06/03/l-observatoire-d-edward-carey/
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