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Il pleut, il pleut, bergère... C'est tout ce qui reste de Fabre d'Eglantine, avec ce nom sonore et poétique qu'il s'était inventé. Pourtant, ce dramaturge oublié, né il y a tout juste deux cent cinquante ans, avait fait représenter plus d'une dizaine d'ouvrages en cinq ans, entre 1787 et 1792, souvent avec succès, avant d'être emporté, sur la même charrette que Camille Desmoulins et son ami Danton, par la tourmente révolutionnaire en 1794. On lisait encore son Philinte de Molière ou la Suite du Misanthrope, longtemps resté au répertoire du Théâtre-Français et considéré comme classique, au début de notre siècle. C'est une autre comédie, L'intrigue épistolaire, de 1791, que nous publions ici : subtilement versifiée, habilement construite sur un imbroglio brillantissime, déchaînant les rires tant par la farce que par l'ironie parodique, ambiguë dans son message malgré une fin apparemment heureuse, elle permet de mesurer l'étendue d'un talent qui fait de Fabre un digne émule de Molière et de Beaumarchais.
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