Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Dans Une littérature en ébullition, Gérard Bessette confiait que le corps restait rare dans la littérature québécoise jusqu'en 1945. Il fallut attendre Bonheur d'occasion pour « sentir le poids de la chair, la pesenteur du corps, l'horreur de sa dégénérescence dans notre littérature romanesque ». Lors d'un entretien avec François Ricard, ce dernier évoqua le corps comme la « tache aveugle » dans l'oeuvre de Gabrielle Roy, « Le corps c'est le point mort ». Pourtant une lecture attentive de cette oeuvre romanesque rend compte de l'omniprésence du corps.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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