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L'homme ne meurt pas... il se tue

Couverture du livre « L'homme ne meurt pas... il se tue » de Jules Ambroise Ndjato Tuidike aux éditions Edilivre
  • Date de parution :
  • Editeur : Edilivre
  • EAN : 9782332962829
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

En écrivant cet ouvrage, mon but n'est pas seulement de faire de la psychologie, ni de la nosologie, de la philosophie ou de la théologie, mais d'aider notre peuple à retrouver une nouvelle conception de la médecine, de l'art de guérir et de la relation entre les questions thérapeutiques,... Voir plus

En écrivant cet ouvrage, mon but n'est pas seulement de faire de la psychologie, ni de la nosologie, de la philosophie ou de la théologie, mais d'aider notre peuple à retrouver une nouvelle conception de la médecine, de l'art de guérir et de la relation entre les questions thérapeutiques, religieuses et spirituelles.
L'homme est le seul responsable des sources de toute maladie ; il est aussi responsable des causes de la mort, quelles qu'en soient les circonstances, par manque de la discipline concrète dans son mode de vie. Toutes les fautes de vie dont il est lui-même responsable engendrent des problèmes de vie, et ceux-ci finissent par provoquer la maladie et la mort. Le titre de cet ouvrage n'est pas à considérer comme une simple phrase philosophique, mais il exprime une réalité bien définie : « L'homme ne meurt pas. Il se tue. » La plupart des maladies ne surviennent pas, comme on le croit, à l'improviste. Elles sont préparées, pendant des années, soit par des fautes de régime, des intolérances au surmenage, aux conflits moraux, qui, lentement, entament la vitalité du sujet, et quand un jour elles éclatent, ce serait pratiquer une médecine superficielle que de les soigner sans remonter à leurs causes lointaines. Aussi, l'expérience m'a appris que le surmenage n'est pas toujours la seule cause des grandes fatigues. Souvent, des drames secrets en sont un facteur important. Quand un malade va consulter un médecin, il expose seulement les maux dont il souffre, et demande un remède. Mais il est moins prompt à parler de tout ce qu'il faudrait reformer dans sa manière de vivre, de ses excès, des passions qui le dominent, des conflits, des révoltes, des doutes et des peurs qui le rongent. Il sait bien que tout cela compromet ses résistances, sape sa joie de vivre et mine sa santé. Mais il lutte tellement, en vain, contre lui-même et contre les circonstances. Il attend de la médecine qu'elle le soulage des conséquences de toutes ses fautes et non qu'elle lui propose une réforme impossible de sa vie.
Les fautes de vie physiques, morales et spirituelles que commettent les hommes entraînent des conséquences. Elles ne compromettent d'ailleurs pas seulement la santé de celui qui commet les fautes en tant qu'un seul individu, mais aussi la santé des autres personnes de son entourage et celle de ses descendants.

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