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Cette correspondance régulière à Moune et au Toutounet commence en septembre 1929 pour s'achever au printemps 1954, à la fin de la vie de Colette. « Moune » est le surnom de Hélène Jourdan-Morhange, qui, d'abord violoniste, devint critique musicale sur les conseils de Colette et écrivit notamment un Ravel et Nous, dédié à ce musicien dont elle avait été l'élève préférée. Le « Toutounet » est Luc-Albert Moreau, dont on connaît bien les nombreuses lithographies et, précisément, les portraits qu'il fit de Colette, ainsi que les gravures de la Treille-Muscate.
Ces vingt-cinq années sont pour Colette celles de l'épanouissement et de la gloire littéraire. Quelque temps durant, elle fut également « marchande de secrets de beauté », comme se plaisait à le dire Cocteau. Puis commence une longue maladie et c'est au cours de ces journées que Colette écrit à Moune : « Aujourd'hui je ne vaux rien. » En 1954, « elle s'éteint comme un soleil qui sombre », dit Maurice Goudeket.
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