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Les silences

Couverture du livre « Les silences » de Jacques Paradoms aux éditions Chloe Des Lys
Résumé:

Dans ce recueil de dix nouvelles inédites, le fantastique « à la Belge » oscille le plus souvent entre Réalisme magique et Fantastique réel. Point de château perdu dans les brumes et encore moins de « Gore » : l'étrange s'insinue dans la banalité quotidienne pour la faire basculer sans crier... Voir plus

Dans ce recueil de dix nouvelles inédites, le fantastique « à la Belge » oscille le plus souvent entre Réalisme magique et Fantastique réel. Point de château perdu dans les brumes et encore moins de « Gore » : l'étrange s'insinue dans la banalité quotidienne pour la faire basculer sans crier gare. Quatre des nouvelles présentées ici ont été classées cinquièmes au 9e Concours Francophone de la Nouvelle à Palaiseau : Les yeux de pierre (sous le titre Les silences de Pierre), Les silences du Blanik, Les silences de Lazare et Silence.

La Voix dans la tombe.
Par une nuit de tempête, en Angleterre, une femme disparaît. Des appels de détresse surgissent d'une tombe. Mystérieux mais rationnel.

« La Digue ».
Même lorsqu'on ne comprend rien à la peinture, certains chef-d'oeuvres peuvent néanmoins vous interpeller.

Le Rendez-vous de Prague.
Promenade ésotérique dans la Prague du Communisme, à la recherche d'un mystérieux K.

Reflets.
Dans un train, un soir d'hiver, l'histoire qui n'a pas lieu, d'un amour seulement rêvé. Et pourtant. Incube ou succube ?

Les Yeux de pierre.
L'histoire de Pygmalion et Galatée à rebours, avec, en apparence, une légère connotation homosexuelle.

Le Langage des fleurs.
Le marivaudage d'un garçon de dix ans et de sa cousine de quinze ans : ils se communiquent en usant de la symbolique des fleurs. Vingt ou trente ans plus tard, surgit le fantôme de la fille : fantôme ou vamp(ire) ?

Les Silences du Blanik.
Adaptation très libre et moderne de la légende tchèque dont s'inspire le poème symphonique de Smetana.

Les Silences de Lazare.
Pourquoi Lazare n'a-t-il jamais raconté ce qu'il avait vu lorsqu'il était mort ? Sombre et déprimant.

Silence.
Description allégorique de son coma par un « amant de coeur »de la Mort : la Mort est un fonctionnaire de charme chargé de se donner à l'humanité entière. Mais parfois, elle tombe amoureuse.

Le Silence apprivoisé.
La radio, la télévision envahissent notre quotidien à un point tel que le silence nous fait peur.

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