Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Tout le monde connaît Alexandre Dumas et tout le monde connaît Le Comte de Monte-Cristo.
Traduit en vingt-deux langues, il demeure le roman le plus lu au monde. Monte-Cristo, c'est d'abord le nom d'un port haïtien, le berceau de la famille antillaise à laquelle Dumas doit son patronyme et son métissage. Dumas dévide ensuite six autres Monte-Cristo qui balayent les clichés : Dumas, un plagiaire enrôlant des nègres ? Le Comte de Monte-Cristo, un roman de gare ? Allons donc ! Alexandre ne sous-traite pas son nom de plume, il signe avec une insouciance solaire son âme et son histoire : " Il y a une chose que j'ai souvent remarquée ; on connaît toujours assez l'oeuvre, on ne connaît jamais assez l'auteur - et cependant il y a une si grande liaison entre l'un et l'autre qu'on ne peut les juger que l'un par l'autre.
" Riche et célèbre, Alexandre Dumas bâtit à Port-Marly le décor de sa créature. Puis il dessine au théâtre, un Comte de Monte-Cristo démesuré. Dix ans plus tard, il lance un hebdomadaire, Le Monte-Cristo, qui reprend son périple en Russie. En 1860, Alexandre arme une goélette, Le Monte-Cristo, pour s'engager dans la libération de l'Italie, le rêve de l'abbé Faria. Dumas consignait à quinze ans ses essais culinaires.
Monte Cristo a encore les honneurs d'une recette tandis que le romancier souffle aux planteurs cubains le nom de Monte-Cristo pour baptiser un cigare qui décuple depuis ses fragrances.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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