Une comédie irrésistible : l'élégance de Billy Wilder, la drôlerie des frères Coen.
Gaby, la soixantaine déprimée, est femme de ménage dans les beaux quartiers new-yorkais. Un matin, elle trouve par hasard la combinaison du coffre-fort d'un de ses employeurs, un vieux marchand d'art fortuné. Décidée à mettre la main sur son contenu - et notamment sur un collier ayant autrefois appartenu à Jackie Onassis -, elle imagine un plan particulièrement audacieux. Seulement, cambrioler un appartement huppé de l'Upper East Side, c'est un peu comme plier un drap sans se faire aider, ça demande un certain entraînement...
Voilà bien longtemps qu’un roman ne m’avait pas plu autant que celui-là. Mais quel plaisir de le dévorer de bout en bout !
Gaby est une soixantenaire, femme de ménage dans les beaux quartiers de New York. Elle n’est ni particulièrement heureuse, ni malheureuse. Elle subit sa vie. Et puis, un jour, elle découvre qu’elle a, à portée de main, chez son employeur, un magot. Il suffirait de peu de choses pour qu’il lui appartienne. Le code du coffre-fort de son patron a été négligemment abandonné dans une poubelle de la maison. Gaby qui en a assez de cette vie médiocre, décide de mettre en place un plan machiavélique pour faire main basse sur le contenu du coffre. Elle s’entoure d’une équipe de bras casse pour mener à bien son projet.
Je ne connaissais pas du tout Stéphane Carlier. Je pense réparer cette erreur en me procurant ses autres romans. Le roman est parfaitement bien écrit. C’est original, dynamique, drôle et rythmé. Aucun faux pas. On ne s’ennuie pas un instant. Je l’ai lu d’une traite. Je me suis, d’entrée, laisser happée. De rebondissement en rebondissement, l’auteur nous emmène jusqu’à un dénouement complètement inattendu. Ce roman est magique.
J'avais découvert par hasard le précédent livre de Stéphane Carlier que j'avais bcp aimé, même si la fin ne tenait pas ses promesses....
Je ne suis en revanche pas du tout déçue avec ce polar-comédie et ses héros, tous plus pittoresques et attachants les uns que les autres.
Comme quoi, on ne s'improvise pas Arsène Lupin si finalement, alors si vous voulez passer un bon moment avec des gens "normaux" qui ont une vie qui ne leur convient et qu'ils rêvent de l'embellir, allez y.
Vous allez sourire, rire, vous angoisser et espérer que finalement le crime paye !!
Gaby, 62 ans, est femme de ménage dans l’un des quartiers les plus chics de New York. Depuis le décès de son mari, cette immigrée colombienne n’a d’autre choix que de se mettre aux services des plus riches pour gagner péniblement sa croute. Mais Gaby en a assez de cette vie de misère et s’efforce de déclencher « son sonar à petits bonheurs » chaque matin afin de lutter contre la morosité.
Lorsqu’elle découvre dans une poubelle un papier contenant la combinaison gagnante ouvrant le coffre-fort d’Irving Zuckerman, un de ses employeurs, un scénario abracadabrant se dessine presque automatiquement dans son esprit.
Profitant des faiblesses de ce dernier, Gaby mettra au point un plan des plus loufoques pour tenter de parvenir à ses fins. S’improvisant stratège, elle se mêlera plus d’une fois les pieds dans des situations plus cocasses les unes que les autres. Qu’importe les moyens pourvu que le résultat soit atteint!
Stéphane Carlier nous livre ici une comédie des plus loufoques, truffée d’obstacles et de bizarreries. Mêlant des acteurs aux antipodes les uns des autres, « Les perles noires de Jackie O. » se veut un roman distrayant et sans complexes. Un roman « feel good » qui se dévore littéralement tant l’auteur sait y faire pour nous divertir. D’échecs en retournements de situation, « Les perles noires de Jackie O. » séduira tous les amateurs de comédies déjantées. Idéal pour ces vacances d’été!
Je remercie les éditions du Cherche Midi pour cette découverte!
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