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Les Passeurs : La mémoire orale des écuyers du Cadre noir volume V

Couverture du livre « Les Passeurs : La mémoire orale des écuyers du Cadre noir volume V » de . Collectif aux éditions Ifce
  • Date de parution :
  • Editeur : Ifce
  • EAN : 9782915250893
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Destiné à tous ceux qui cherchent à comprendre la relation homme-cheval dans une perspective de transmission des savoirs, ce cinquième recueil de témoignages inédits propose de découvrir l'Équitation de tradition française à travers les parcours de vie des écuyers du Cadre noir.



Charles de... Voir plus

Destiné à tous ceux qui cherchent à comprendre la relation homme-cheval dans une perspective de transmission des savoirs, ce cinquième recueil de témoignages inédits propose de découvrir l'Équitation de tradition française à travers les parcours de vie des écuyers du Cadre noir.



Charles de Certaines :

« Je dirais qu'un écuyer, c'est l'élégance, la discrétion et la légèreté. Il faut toujours que l'écuyer se rappelle pourquoi sa tenue est noire. Sa tenue est noire parce que ce n'est pas lui qu'on doit voir. C'est le cheval. Donc la première qualité d'un écuyer, pour le dire avec un peu d'humour, c'est de ne pas prendre la place de son cheval.»



Nicolas Dugué :

« Il y a une tradition [française]. Elle est basée d'abord sur une assiette extrêmement développée du cavalier, une assiette très liante et très solide, ce qui ne se fait pas forcément dans les autres pays, puis sur un emploi des aides a minima. Jamais d'interactions fortes avec le cheval. »



Dominique Flament :

« Le bien-être de sa monture est la préoccupation principale de tout homme de cheval qui se respecte. Lorsqu'il le dresse pour quelque utilisation que ce soit, il doit s'attacher à le convaincre

sans le contraindre. On parlait sans doute moins autrefois du bien-être animal mais on les aimait tout autant. »



Francis Rebel :

« Je sais que je ne sais rien, mais je suis sûr que j'en sais un peu plus que d'autres. Je ne me suis pas senti investi d'une mission sacrée, mais j'ai toujours eu conscience que c'était une mission fondamentale. J'essayais de transmettre le mieux possible mes connaissances à des gens qui ensuite allaient embrasser la profession et puis, après, transmettre. »

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