Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Geroges Banu, critique, homme de théâtre, essayiste, parle en ces termes de l'oeuvre d'Octavian Hoandra :
« Je lis Octavian Hoandra et j'ai le sentiment de me retrouver, je le lis et j'aime cette intimité avec la réalité et avec les hommes, je le lis et je me console temporairement de « l'absence » qui ne trouve pas sa réponse. Camille Claudel écrivait à Rodin : « Il y aura toujours quelque chose d'absent ». Sans doute, mais il y a des palliatifs de passage, comme les poèmes ou les oeuvres des artistes réticents envers l'absolu précisément pour pouvoir se confronter à la relativité de l'immédiat, au concret et à la morale, à tout ce qui nous met chaque jour à l'épreuve et nous prépare pour un devenir, pas du tout pour une révélation. Ainsi, temporairement, nous nous sauvons nous-mêmes, seuls et. ensemble ».
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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