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Les larmes oubliées de la Vologne

Couverture du livre « Les larmes oubliées de la Vologne » de Marie-Ange Laroche aux éditions Archipel
  • Date de parution :
  • Editeur : Archipel
  • EAN : 9782809802313
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Le 16 octobre 1984, à Lépanges-sur-Vologne (Vosges), on découvrait dans la rivière le corps d'un enfant de quatre ans, noyé après avoir été attaché : le petit Grégory Villemin.
L'affaire Villemin venait de débuter. 25 ans après, elle garde toujours son mystère et les drames se sont succédé.... Voir plus

Le 16 octobre 1984, à Lépanges-sur-Vologne (Vosges), on découvrait dans la rivière le corps d'un enfant de quatre ans, noyé après avoir été attaché : le petit Grégory Villemin.
L'affaire Villemin venait de débuter. 25 ans après, elle garde toujours son mystère et les drames se sont succédé. L'incarcération de Bernard Laroche, cousin de Jean-Marie Villemin, le père de Grégory, accusé d'être l'assassin, sa remise en liberté un mois et demi plus tard, son assassinat par Jean-Marie quelques semaines plus tard, la mise en examen et l'incarcération de Christine Villemin puis sa remise en liberté...
Aujourd'hui Marie-Ange, la veuve de Bernard Laroche, raconte son calvaire et le drame à travers le drame. Elle dit comment le juge Lambert, d'abord « embrouillé » par les gendarmes, a mené sa propre enquête et, convaincu de l'innocence de Laroche, l'a remis en liberté.
Elle raconte le rôle nocif des gendarmes qui ont manipulé des témoins, brouillé des indices, fait pression sur des experts pour mieux faire accuser Laroche. Mais aussi la haine aveugle de Jean-Marie, son désir de tuer quoi qu'il en soit, son refus d'entendre la voix de la justice incarnée par le juge. Elle détaille presque seconde par seconde l'assassinat de Laroche par Villemin sous ses yeux et sous le regard horrifié de leur fils de quatre ans : « Il l'a tué sans le laisser s'expliquer. Il l'a abattu comme un chien ».
Elle se dit certaine que de nouveaux éléments vont confirmer l'innocence de son mari. Elle se dit prête à accepter l'exhumation de son mari si cela permet de le disculper définitivement en désignant le véritable assassin.

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